Retranscription écrite du podcast :

Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach, je suis Esther Taillifet, coach de vie certifiée et dans ce 112ème épisode nous allons parler des cadeaux de la vie.
Je ne savais pas trop comment le formuler, les cadeaux de la vie ce sont toutes ces choses qui nous arrivent et qui sont là pour nous apporter quelque chose pour nous faire grandir mais sur le moment ce n’est pas forcément la chose que l’on voit en premier et j’ai envie d’en parler avec vous parce qu’il y a pas mal de façon de voir les choses, il y a des grands optimistes de la vie et il y a aussi des grands pessimistes, il y a pleins de façons de voir les choses et évidemment j’ai envie de discuter avec vous de l’impact qu’ont ces différents modes de pensées sur votre vie, sur comment vous vous sentez dans votre vie, sur les actions que vous mettez en place et par extension sur les résultats que vous créez pour vous-même dans votre vie et l’expérience que vous avez de la vie. 

L’histoire du saut dans le vide

Je vais vous raconter une anecdote parce que c’est tellement d’actualité pour moi mais cette semaine au moment où j’enregistre ce podcast j’étais avec mon coach en business, dans une immersion, nous avons passé 3 jours absolument extraordinaires dans un très beau château du sud de la France avec mon coach et les autres participants de mon Mastermind, nous étions 8 en tout si je ne me trompe pas. Nous avons passé cette immersion à parler de business, de comment apporter le plus de valeur à nos coachés, à notre audience, comment maximiser les résultats des personnes qui travaillent avec nous,  comment faire un bon suivi mais aussi comment marketer son offre, comment mettre en avant notre produit, comment cibler les bonnes personnes et ne pas se retrouver que nos produits soient proposés aux personnes qui ne sont pas intéressées par ça, sinon ça s’appelle juste de la pub un peu « relou », vous savez les pubs qui vous parlent de choses dont vous n’avez absolument rien à faire. Et c’était absolument passionnant, j’adore ce genre de moment, ce sont des moments où le travail est très intense, on se retrouve en petit groupe, on fait tous un métier qui est similaire, nous sommes tous dans le domaine du coaching, nous sommes tous en ligne, ce qui fait que l’on rencontre tous un peu les mêmes difficultés. Ce sont des personnes qui partagent les mêmes valeurs, c’est absolument génial comme émotion et comme moment de partage. Notre coach est quelqu’un d’assez généreux, souvent il nous prévois des petites surprises pendant ce type d’immersion et il nous a fait une surprise qui était d’aller faire un tour en bateau pour aller nous faire visiter les calanques, je ne connaissais pas du tout, j’avais dû les voir en passant en voiture ou quelque chose comme ça en allant en Italie ou quelque chose du genre mais je n’avais jamais fait comme ça un tour en bateau. C’était une surprise, nous n’étions pas au courant de où nous allions et je n’avais franchement pas la tenue pour aller sur un bateau, j’étais en petite robe en collant avec des talons… je n’avais pas de maillots de bains non plus et en faite c’était magnifique, c’était une merveilleuse journée et l’eau n’était pas trop froide alors nous avons décidés de nous baigner, nous nous sommes baignés en sous-vêtements et j’ai eu envie à un moment donné, j’avais vu des personnes sautés du haut des calanques et j’ai eu envie de sauter, de demander à la personne qui nous a fait faire le tour du propriétaire, c’est une personne qui vit dans le coin et qui connaît très bien l’endroit, elle nous a emmené à un endroit où il était possible de sauter à 5 mètres, ce n’était pas dangereux. On a tous voulu sauter. Il faut savoir que moi j’ai le vertige, beaucoup moins que ce que j’avais il y a 15 ou 20 ans mais j’ai c’est un vrai challenge pour moi que de sauter à 5 mètres de haut, directement dans la mer, mon cerveau à ce moment là il me dit de que je vais mourir, que je vais me prendre la falaise, qu’il va y avoir une grosse rafale de vent qui va fracasser mon 60kg tout mouillé, je vais mourir dans d’atroces souffrances etc… Evidemment  ce genre de pratiques peuvent être dangereuses si elles ne sont pas encadrées, dans ce cas de figure nous étions encadrés par quelqu’un qui connaît les lieux comme sa poche, et qui nous avait donné les instructions à suivre pour ne pas nous mettre en danger. J’avais peur, le cerveau nous propose le pire scénario possible, nous avons tout un épisode dédié à ce sujet, nous étions 4 sur le groupe à s’être décidé à monter je crois, et les 3 avaient sautés et il ne restait plus que moi, j’étais en haut de la falaise en train de stresser et j’ai mis un petit moment à me décider mais j’ai quand même décider assez vite, j’avais décidé que j’allais sauter la question c’était juste : quand ? Je savais que j’allais sauter, je ne me voyais pas redescendre de la falaise, c’était juste impossible pour moi et mon petit ego, il fallait que je prenne sur moi et je voulais faire ce travail sur moi et je voulais vivre la peur. 
J’ai vraiment vécu la peur tout là haut et j’ai pensé à une phrase de Will Smith qu’il a dit un jour dans un speech, vous savez que j’écoute beaucoup d’interviews vu que je vous en ai parlé la semaine dernière, il a dit :

« Peace is on the other side of fear » / « la paix se trouve de l’autre côté de la peur »,

et que la joie et la vie extraordinaire se trouvait de l’autre côté de la peur. Et j’ai pensé à ça quand j’étais en haut de cette petite falaise, je savais que j’allais sauter quoi qu’il arrive, j’ai décidé de sauté (vous avez vu tout le storytelling que je vous fais autour de ce saut, mais vous allez comprendre pourquoi). J’ai fini par sauter mais comme j’ai eu peur, je n’ai pas sauté de manière droite, j’ai sauté d’une façon assez artistique qui a été immortalisée en photo, nous avons une magnifique vidéo de mon saut, imaginez une grosse patate avec les jambes en l’air, c’était absolument majestueux n’est-ce pas ? Et évidemment comme je n’ai pas sauté tout droit je n’ai pas atterri dans l’eau de la bonne manière et quand on saute de 5 mètres, notre corps subit malgré tout une certaine pression lorsqu’il rentre dans l’eau et il se trouve que je suis rentrée dans l’eau par la cage thoracique, autant vous dire que ce n’était pas la meilleure façon de rentrer dans l’eau, mis à part le claquage que je me suis pris sur la peau, ce qu’il s’est passé c’est que cela m’a coupé le souffle, je suis rentré dans l’eau et j’ai eu le souffle coupé, une sensation de ne pas pouvoir respirer, quand je suis sortie de l’eau j’ai eu du mal à reprendre ma respiration, je l’ai reprise mais j’avais une douleur assez intense. J’ai contacté mon ostéopathe qui m’a dit que j’avais dû contracter mon diaphragme par peur et peut être que j’ai une côte fêlée mais je ne crois pas honnêtement, mais peu importe, la question n’est pas de savoir ce que je me suis fait vraiment, mais c’est plus le fait que physiquement, j’ai comme des grosses courbatures sur les muscles intercostaux.
Déjà c’est assez intéressant parce que l’on se rend compte à quel point on utilise ses muscles intercostaux : difficile de rire, de respirer, de soulever quoi que ce soit, de se tourner, de se lever d’une chaise ou d’enfiler des collants (vous m’auriez vu enfiler des collants ce matin c’était artistique). Je me suis rapidement dit en rentrant sur le bateau, il va falloir que je fasse avec, que j’accepte que je doive me reposer dans les jours à venir, et qu’est-ce que je peux faire de cette information, et ça c’est l’état d’esprit que j’ai décidé d’avoir dans ma vie et que j’ai envie de vous transmettre ici, de vous proposer comme une option ici, quand il m’arrive quelque chose qui n’est pas forcément cool, là je revenais de Paris avec du matériel, je me suis rendue à Marseille avec une valise de matériel assez lourde, j’avais toutes les raisons de penser que c’était une tuile qui m’arrivait à ce moment là, que ce n’était pas du tout le bon moment. Assez rapidement je me suis demandée ce que je pouvais faire de ça. Je me sers d’un exemple un peu anecdotique, j’ai sauté d’une falaise, j’ai sauté d’une falaise et je me suis fait un peu mal, rien de très grave, il nous arrive des choses biens plus graves dans la vie, dans mon expérience de vie et que vous me suivez sur YouTube vous savez qu’il m’est arrivé des choses plus graves dans la vie, vous aussi je suis sûre qu’il vous en est arrivé, je crois que plus le temps avance et plus je me rends compte à quel point personne n’est épargné. Personne n’a plus de chances que les autres globalement, nous avons tous des expériences de vie qui font nous faire dire que ce qui nous arrivait était vraiment loin d’être cool, des moments où l’on aurait pu se dire : « non mais là j’ai envie de jeter l’éponge, là c’est vraiment trop injuste », il y a des moments dans notre vie où l’on peut se dire ça et ce que j’ai envie de vous proposer comme vision c’est de vous dire : « est-ce que ce n’est pas l’occasion justement d’apprendre quelque chose », est-ce qu’il n’y a pas un cadeau qui vient avec ça. C’est vraiment quelque chose que je crois pour moi-même et que je mets en pratique tout le temps, et dans ce cas de figure c’est exactement ce qu’il s’est passé. 
Vous le savez peut-être mais je suis quelqu’un de très active, je bouge beaucoup, je marche dans Paris, j’ai beaucoup de mal à prendre les transports en commun, je suis quelqu’un qui fait du sport, qui est active, j’aime beaucoup être mobile, je marche très souvent pour aller d’un endroit à un autre dans la ville… Je tiens beaucoup à ma liberté d’esprit et de mouvement etc… De me dire que je ne pouvais pas me mouvoir parce que ça me fait mal, cela peut être quelque chose de très frustrant pour moi, ce sont d’ailleurs les premières émotions qui me sont venues, c’est de la frustration de ne pas pouvoir être libre de mes mouvements tout simplement, de ne pas pouvoir être à mon maximum et de ne pas pouvoir porter mon sac par exemple. Je me suis posé la question de quel cadeau pourrait se cacher derrière cette situation, et c’est ce que je vous encourage à faire pour vous-même, la réponse que j’ai trouvé ça a été assez drôle parce que l’une des difficultés auquel j’ai dû faire face, même si j’ai énormément travaillé dessus et que je ne suis plus du tout au stade où j’étais il y a encore deux ou trois ans, c’est de demander de l’aide tout simplement. Le problème n’est pas d’admettre que j’en ai besoin ou que je ne suis pas la meilleure personne pour faire les choses, ce n’est pas ça, c’est plus le fait de demander et d’être redevable à quelqu’un. Le fait d’avoir besoin de quelqu’un et que cette personne soit gentille avec nous et que l’on se sente redevable, j’aime bien faire les choses toute seule pour juste tracer ma route, et pouvoir le faire de manière individuelle comme type de peur et c’est quelque chose que j’ai toujours plus ou moins eu à des stades où c’était complètement absurde, ce qui me fait penser à mon déménagement à Lyon il y a 2 ans, je n’ai pas contacté mes amis pour qu’ils m’aident à vider le camion, donc j’ai monté mon matelas toute seule, dans ma cage d’escalier, ce qui est complètement ridicule maintenant que j’y pense, je n’avais pas encore fait ce chemin et pourtant ce n’était qu’il y a deux ans, j’avais déjà bien avancé en ce qui concerne mon développement personnel. Je dirais que ce dernier aspect touche à mon indépendance et à mon autonomie ce qui sont mes valeurs principales, je sais que c’est l’une des choses sur lequel j’ai encore du travail. Je me suis dit, quelle excellente opportunité d’apprendre cette chose, parce que concrètement je ne vais pas pouvoir porter ma valise, je suis dans l’incapacité de le faire, et là j’ai directement pensé au fait que dans le magnifique château où l’on dormait, il y avait un étage, il n’y avait évidemment pas d’ascenseur, mon sac et ma valise était au sol, il fallait que je mette mes affaires dedans, que je la redresse, que je la tourne, et que je la ferme et tout cela me paraissait impossible à ce moment là, et après il fallait que je la descendre des escaliers, que je la mette dans le taxi qui allait m’emmener à la gare, et ensuite à la gare que je la descende sur le quai et ainsi de suite.
Là moi j’y ai vu une opportunité de me dire : « ok, tu ne demandes jamais d’aide parce que tu ne veux pas te sentir redevable et là tu vas demander de l’aide sans rien en échange », juste demander de l’aide : « est-ce que vous pourriez m’aider à faire telle ou telle chose, parce que je n’y arrive pas », et me mettre dans cette position là de personne qui a besoin de l’autre, et c’était une expérience hyper intéressante pour moi, et ça a été le cadeau de cette côte fêlée/de cette blessure. En faite, quand j’ai pris mon train, j’ai demandé à l’une des personnes qui était dans le Mastermind avec moi de descendre ma valise, ensuite le chauffeur la mise dans son taxi, il me l’a descendu du taxi, il me l’a même amenée à l’endroit de la gare qui était le plus pratique pour moi, pour ne pas que j’ai à franchir des marches dans mon état, si vous vous êtes déjà fait une blessure similaire vous savez que c’est une douleur qui est très perçante qui couple le souffle, ce n’est pas le type de douleur où tu peux forcer un peu. C’est assez drôle parce que dans ma vision des choses et dans ce que j’ai décidé de croire, c’est exactement pour cette raison que j’ai eu cette blessure et pas une autre, parce que c’est une blessure où je ne peux vraiment pas faire autrement que demander de l’aide, ce n’est pas juste une question de tolérance à la douleur, si j’ai mal, cela me coupe le souffle et je ne peux pas faire autrement. Si j’avais eu juste un peu mal à la cheville, par exemple, j’aurais très bien pu porter ma valise, et là c’était exactement ce dont j’avais besoin à ce moment là. Surtout après ces 3 jours magnifiques que l’on venait de passer ensemble où j’étais en train d’apprendre comment déléguer efficacement aux autres membres de mon équipe, parce que l’on commence à être une belle équipe chez Se Sentir Bien et comment réussir à mettre tout le monde en responsabilité, au meilleur endroit où il puisse être, cela exige de pouvoir demander de l’aide : « là tu vois ça je n’y arrive pas », en plus cette semaine là nous étions en train de recruter une assistante dans l’entreprise, c’est hyper intéressant de me dire que je devais demander de l’aide à d’autres personnes, mon biais de confirmation sur lequel je travaillais était à l’oeuvre dans le sens où il me montrait ce que je croyais déjà, c’était exactement ce dont j’avais besoin pour mettre en pratique ce dont j’avais besoin, à savoir, demander de l’aide, et dans le train j’ai demandé à un jeune homme qui avait l’air très fier de ses muscles au vu de la tenue qu’il portait et je lui ai demandé s’il pouvait m’aider à porter ma valise, il a trouvé ça très facile et était très heureux de pouvoir m’aider et je l’ai évidemment remercié, il était ravie de pouvoir m’aider et il ne m’a rien demandé en retour. J’ai demandé au taxi qui me ramenait chez moi s’il pouvait me monter la valise au deuxième étage parce que je lui ai expliqué la situation, il l’a fait volontiers et je lui ai laissé un très bon pourboire, et voilà.
C’était très édifiant pour moi de voir avec quelle simplicité tout cela s’est passé.

Un cadeau derrière tous les accidents de la vie 

De me rendre compte qu’il y a toujours un cadeau qui nous est offert d’une façon ou d’une autre dans les situations qui nous sont présentées. C’est une vision des choses, nous pouvons voir les choses de différentes manières, on peut soit se dire qu’il nous arrive pleins de tuiles dans notre vie, où les choses de bien qui nous arrivent ce n’est pas de notre fait, c’est juste la chance, donc ça n’a pas de valeur, on peut décider de voir le monde de cette manière et de voir tout ces évènements comme quelque chose contre nous, où on peut se dire : « tiens, tout ce qui m’arrive dans ma vie c’est pour moi, c’est en ma faveur, une occasion pour moi d’apprendre quelque chose, une opportunité de comprendre des choses sur moi et sur le monde et si je décide de voir le monde par ce biais là, je vais rapidement me rendre compte que dans toutes les situations que je rencontre aussi désagréables soient-elles sur le moment, il y a toujours un cadeau, toujours une leçon de vie qui se cache derrière cette déconvenue ». Et cela arrive tout aussi bien pour des choses anodines, c’est anecdotiques ce qui m’est arrivé cette semaine et je suis complètement d’accord avec vous, mais même dans ce cas de figure, j’en ai quelque chose à tirer pour mon propre développement personnel. Prenez l’habitude de voir les choses de cette manière et de vous dire :

Tiens et même si la pire chose qui me soit arrivée, la mort d’un proche, d’une agression dans la rue, quelque chose d’atroce, et si c’était arrivé pour moi et pas contre moi ? Et si la vie me l’avait proposé parce que c’était exactement ce dont j’avais besoin maintenant, et que cela me permette de faire ce pourquoi je suis l’a, c’est à dire mon développement personnel ? Et si c’était pour moi et non contre moi ?

C’est quelque chose que je vous partage très souvent dans les mots du jour, vous savez qu’au sein de Se Sentir Bien, là je vous parle de tous les outils en théorie dans ce podcast, nous les appliquons ensemble au sein de La Communauté, toutes les semaines et tous les mois on les applique ensemble, et le vendredi je vous fait un bilan de semaine où je vous parle via le mot du jour qui dure 10 minutes environ, c’est une note vocale que je vous fait où je vous parle de la thématique du mois, où l’on va un peu plus en profondeur dans les exercices, vous me posez vos questions et du coup j’y répond, je vous présente aussi les difficultés que vous risquez de rencontrer, et cela vous permet de garder un état d’esprit positif et d’être dans le flow de votre développement personnel et d’ancrer l’habitude et d’en faire une habitude quotidienne, et de vraiment le faire, le but c’est de devenir votre propre coach, c’est à dire de vraiment mettre en pratique tout ce que l’on enseigne ici. Les vendredis dans les mots du jour je vous fais ce que j’appelle un bilan de semaine où je vous parle de là où j’en suis dans mon développement personnel, et c’est typiquement le genre d’anecdotes que je vous partage, parce que c’est ce à quoi ressemble le développement personnel dans le quotidien. Dans le quotidien, ce sont des situations frustrantes, des situations qui créent de la joie, des émotions qui vont nous apprendre le plus et c’est pour cela que je vous le partage pour que vous puissiez voir à quel point l’utilisation de tous ces outils, le fait de remettre en perspective tout ce que l’on enseigne ici, c’est ce qui vous permet d’avancer et de faire votre propre développement personnel. Si vous voulez faire partie de la famille de La Communauté, si vous voulez faire partie de La Communauté cela coûte (update avril 2020) 34 euros par mois, c’est vraiment quelque chose d’accessible, chaque mois il y a une nouvelle thématique, il n’y a pas de point de départ ou d’arrivée, vous pouvez vous inscrire à n’importe quel moment, le programme est conçu de telle sorte que vous puissiez le rejoindre à n’importe quel moment, évidemment je vous encourage à rester entre 6 mois et 1 an parce que si vous restez il y a une continuité, il y a une cohérence qui se créé avec toutes les thématiques. Le programme est pensé de telle manière à former une boucle, à partir du moment où vous commencez, c’est bien de continuer pendant 1 an.
Je m’arrête là pour ce podcast aujourd’hui, n’hésitez pas à me partager en commentaires sur sesentirbien.coach/podcast/112, les cadeaux de la vie, les situations où au premier abord ce n’était pas quelque chose de positif et que vous avez décidez de le voir comme quelque chose de positif et de voir le cadeau qui venait avec cet évènement. Cela m’intéresse beaucoup car cela me permet de m’enrichir de vos expériences parce que les cadeaux que la vie vous a offert, ce ne sont pas des cadeaux que moi j’aurais par définition parce que j’ai pas votre vie, nous avons tous une expérience de vie enrichissante et différente.
Je m’arrête là pour aujourd’hui, je vous embrasse, je vous souhaite un excellent vendredi, un excellent week-end et je vous dis à vendredi prochain !