Retranscription écrite du podcast :
Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach, je suis Esther Taillifet coach certifiée et dans ce 149ème épisode nous allons parler de consentement.
Je suis certaine que lorsque j’évoque ce mot « consentement », vous avez un ancrage qui fait que vous avez l’intuition que nous allons parler de sexualité, que l’on va parler de relations dans le cadre d’une interaction sexuelle entre deux individus, quel que soit leur genre et leur sexe, que l’on va peut-être parler de rapport de force, du fait d’avoir une bonne communication, d’exprimer son consentement et de pouvoir dire ce qui est juste pour nous et ce qui ne l’est pas, d’avoir face à nous quelqu’un qui est en mesure de recevoir notre consentement, qui sont en mesure de s’en assurer auprès de nous avant d’agir. Nous allons parler de ça, mais j’ai décidé d’étendre ce sujet du consentement au-delà des relations, des interactions sexuelles.
En réalité, le consentement ne concerne pas uniquement les rapports sexuels/intimes, cela concerne toutes les autres interactions que vous pouvez avoir avec les autres êtres humains dans ce monde, au quotidien.
Il y a de nombreuses situations où l’on fait des choses, on reçoit des actions d’autres personnes qui sont en dehors de notre consentement, je pense notamment aux relations au travail où on se retrouve à devoir faire des choses parce que l’on se sent pressurisé et forcé à les faire, ou dans la sphère familiale parce qu’on a une sorte de pression sociale où l’on se retrouve à faire des choses qu’on a pas vraiment envie de faire, ou à accepter que d’autres personnes face des choses qui nous implique, comme par exemple certains repas de famille où l’on se sent obligé d’aller, ça va au-delà de notre consentement, si c’était une interaction sexuelle, cela ne se passerait pas de la même manière. C’est un exemple que je donne souvent pour parler de ça en atelier ou en coaching quand on parle de relation à la nourriture, parce que vous le savez peut-être que je coach beaucoup sur cette thématique là ce qui fait que j’ai beaucoup d’exemples liés à ça, ce n’est pas du tout parce que c’est le seul domaine dans lequel je peux transposer ce que je vous raconte. Très souvent, les personnes me disent : « non mais tu comprends, c’est compliqué pour moi de choisir ce que je mange, de décider moi-même de ce qui est bon pour moi dans la mesure où quand je suis chez mes parents et mes grands-parents, on va me forcer à manger ce qui est prévu », je dis souvent dans ces cas là que si quelqu’un te force à mettre quoi que ce soit dans ta bouche, pose toi la question, si c’était un pénis, est-ce que cela se passerait de la même manière ? Est-ce que ce serait vécu socialement de la même manière ? Probablement que non, parce que socialement, on a admis que le consentement était nécessaire dans l’interaction sexuelle. J’ai envie de vous proposer ça aujourd’hui, le consentement est nécessaire, quelle que soit l’interaction que vous avez avec qui que ce soit. C’est important que vous soyez ok d’être là, que vous ayez envie de faire les choses que vous faites, que vous ne soyez pas dans le sacrifice de votre intégrité, de ce qui est juste pour vous et pour vos valeurs, que vous soyez sincèrement présents. Je redonne l’exemple du dîner de famille où on se sent obligés, ou on se sent pressurisés, on a une sorte de pression sociale où on a l’impression de devoir faire plus. Par le passé je travaillais dans une boite où on nous disait de venir à l’heure que l’on voulait pour travailler, on vous dit : « vous venez quand vous voulez », mais en pratique, si vous arrivez après 11h, quelqu’un va vous faire une remarque. Idem pour le soir où il y a une sorte de pression le soir, ce petit jeu de « qui va partir le plus tard » pour remporter le titre de meilleur employé du mois.
Il y a une sorte de non-consentement qui vous est imposé, on vous impose d’aller au-delà de votre propre consentement, vous même vous allez aller au-delà, sans forcément que vous vous en apercevrez, on pourrait argumenter sur le fait que ce soit du consentement, la ligne est floue, et c’est bien toute la discussion qu’il peut y avoir autour du consentement, en particulier en ce moment autour des interactions sexuelles, c’est pour ça que je trouve cela utile d’en parler et de vous proposer un outil pour ça.
Aujourd’hui je vais vous parler d’un outil qui va vous permettre de définir tout ça, je suis bien d’accord, tout ça est assez flou.
La roue du consentement de Betty Martin
Cet outil s’appelle la roue du consentement, et c’est un outil qui a été développé par Betty Martin, c’est une chiropracteur de formation, elle est habituée à manipuler le corps humain de part son métier, elle s’est spécialisée dans un domaine qui est le mouvement du corps durant les interactions sexuelles. Elle accompagne aujourd’hui des personnes dans leur sexualité. Elle a développé cet outil qui s’appelle la roue du consentement que vous connaissez peut-être, vous allez sûrement tomber dessus si vous tapez ces mots-clés sur Internet. Elle a pensé cet outil dans un cadre sexuel et pas dans un cadre plus étendu comme je vous propose de le voir ici. C’est un outil de développement personnel, on va s’en servir pour étendre le propos de ce que l’on veut évoquer aujourd’hui.
Cette roue du consentement est divisé en quatre quartiers, chacun définit par un mot :
– servir
– prendre
– permettre
– accueillir
Ces quatre mots constituent le consentement.
Lorsque l’on est dans une interaction où il y a un consentement, on est soit en train de servir, de prendre, de permettre, ou d’accueillir. Et vous voyez que dans ces verbes précédemment cités, il y en a deux qui sont actif, qui sont attribués à la personne qui fait l’action et les deux autres qui sont passifs qui vont être attribués aux personnes qui reçoivent l’action. Dans les verbes actifs il va y avoir « servir » et « prendre », et dans les verbes passifs on a « permettre » et « accueillir ». Quand il y a une interaction entre deux personnes, qu’elle soit sexuelle ou d’une autre nature, on a toujours quelqu’un qui est actif et quelqu’un qui est passif. Par exemple quelqu’un qui sert ou qui prend ou quelqu’un qui permet et qui accueille. Je vais vous donner deux exemples de situations de consentement, histoire d’asseoir ce que je viens de vous énoncer précédemment.
Vous êtes en train de faire un massage sur les épaules de quelqu’un, au travail, à une amie. Peut-être que vous êtes dans une interaction « servir »/ « accueillir », c’est à dire que vous donnez ce massage, vous êtes dans le service, vous essayez de faire du bien à cette personne, vous lui donnez quelque chose et la personne qui reçoit le massage va être dans l’accueil, là nous sommes face à une situation qui respecte le consentement, la personne est d’accord pour recevoir ce massage, vous êtes d’accord pour le donner, les deux personnes sont d’accord et leurs consentements mutuels est respecté.
Un autre exemple : vous êtes avec votre petite nièce qui a 10 ans, vous avez de très longs cheveux et elle adore jouer avec, et vous acceptez parce qu’elle vous le demande, vous ça ne vous dérange pas et vous trouvez même cela mignon, elle vous demande si elle peut vous faire une tresse et vous lui dites : « oui ». Dans cette situation, votre petite nièce est en train de faire l’action, elle est en train de « prendre », c’est une action qu’elle fait, elle est active mais elle le fait pour elle, elle ne le fait pas dans le but de vous servir, elle le fait pour elle, pour recevoir quelque chose, elle va être dans l’action de « faire la tresse » et vous vous allez être dans le « permettre », vous permettez à votre petite nièce de faire la tresse, parce que ça vous amuse, parce que cela ne vous dérange pas particulièrement, parce que vous êtes contente de pouvoir lui permettre de se faire plaisir en vous faisant une tresse, nous sommes donc face à une situation où le consentement est respecté de toutes parts.
C’est quelque chose que l’on peut étendre aux interactions sexuelles, et qu’on peut étendre à toutes les interactions dans votre quotidien, vous êtes dans le « service » lorsque vous êtes au travail, vous êtes en train de donner de votre personne, vous le faites pour des clients qui eux en échange accueillent ce service, peut-être que dans d’autres situations vous êtes en train de permettre, quelle que soit la situation auquel cela se réfère. Chacun des quartiers de cette roue du consentement à une limite, auquel cas on sort de ce cercle et on arrive dans la partie où nous ne sommes plus dans le consentement. Par exemple, dans le domaine du service, si l’on s’écarte du consentement on peut se retrouver dans un cas de figure où on est plus en train de servir mais on est devenu un esclave en quelques sortes, on le vit comme une perte, on est plus d’accord, c’est en dehors de notre consentement, dans ce cas nous sommes devenus esclaves. Si on sort de la roue du côté de « prendre », on va être dans l’abus, dans le viol dans le cas où l’on parle de sexualité, on va être dans l’attaque. Si votre petite nièce arrive sur vous et qu’elle vous saute dessus et qu’elle vous tire les cheveux sans avoir rien demandé au préalable, là elle est dans l’abus, c’est en dehors de votre consentement, même sans tirer vos cheveux, juste mettre ses mains dans vos cheveux sans vous demandez, elle est dans l’abus. Dans l’accueil il peut y avoir un moment donné où on peut être en dehors de notre consentement, on peut se retrouver dans des moments où nous n’avons plus envie d’accueillir, on va être dans une position où l’on risque de ne pas se sentir bien. Vous savez, cette situation où vous êtes au restaurant et quelqu’un veut absolument payer l’addition, vous ne voulez pas que cette personne paie, vous voulez payer vous-même et cette personne insiste tellement, elle vous met dans une position où vous n’êtes pas dans le consentement, vous vous sentez profiteur à ce moment précis. De la même manière avec le quartier « permettre », là aussi si vous allez au-delà de votre consentement dans le « permettre », vous allez être dans une situation où vous allez endurer/subir la situation. Si vous n’étiez pas dans le consentement, vous n’aviez pas envie que votre petite nièce vous fasse des tresses mais que vous l’avez accepté malgré tout, même si verbalement vous avez émis un consentement, en réalité vous ne l’étiez pas, et ce qui vous indique cela c’est la manière dont vous vous sentez, vous endurez la situation vous n’êtes pas ok d’être là, si vous aviez le choix vous préféreriez être ailleurs.
Je vous présente tout cela pour que nous ayons à notre disposition des mots afin d’être en mesure de définir les actions auxquels on fait face dans notre quotidien et qu’on puisse remarquer qu’il y a des moments dans notre vie, où on croit qu’on est dans l’accueil alors que l’on est dans une posture de profiteur, et on est pas bien dans cette posture et ce qui fait que l’on est pas dans le consentement. Parfois on est dans une situation où loin croit que l’on a permis à des personnes de faire des choses alors qu’en réalité on est en train d’endurer la situation. C’est peut être quelque chose qui se produit souvent dans votre vie, vous pensiez être d’accord, par exemple quelqu’un de votre famille qui va vous demandez de vous emprunter un livre alors que vous ne vouliez pas que ce livre sorte de cette maison, pour vous c’était important qu’il reste ici, vous avez dit « oui » mais en réalité c’était en dehors de votre consentement, vous le savez parce que vous avez l’impression d’endurer la situation, vous ne vous sentez pas bien, vous aviez l’impression que ce n’était pas juste pour vous.
Il en va de même dans le service, où on se sent esclave, on a envie de donner mais on est plus vraiment en train de donner.
Par exemple votre petite nièce pense que vous aimez bien vous faire toucher les cheveux et que c’est quelque chose qui pourrait vous faire plaisir, idem pour le massage, où la personne pense que cela vous ferait plaisir alors que vous vous détestez que l’on vous touche, que vous ça vous mets très mal à l’aise, ce qu’elle ne sait pas c’est que vous êtes dans le « permettre » et non dans « l’accueillir ». Dans ce cas, cette interaction est dans le « perdant/perdant », ce n’est pas une interaction où les deux personnes ont à y gagner, même si l’interaction opère dans la roue du consentement, ce n’est pas une interaction qui est empouvoirante et qui permet de grandir, parfois on est dans le « servir/permettre » au lieu d’être dans le « servir/accueillir », on laisse les autres nous donner alors que l’on a pas du tout envie de recevoir. J’aurais envie de vous proposer de réfléchir à ces situations où des personnes essaient de vous aider, vous n’allez pas forcément bien en ce moment, vous avez un déménagement à organiser, vous êtes en train de quitter votre travail actuel ce qui entraîne des démarches administratives dont vous devez vous occuper, les personnes autour de vous veulent vous aider et vous servir, mais en faite elles vont vous servir, mais vous au lien d’accueillir et de recevoir, vous allez juste permettre, permettre à la personne en face de vous qu’elle vous aide alors que vous n’en avais pas réellement envie. Je vous encouragerais si vous êtes dans ce genre de situations, même si cela reste dans la sphère de votre consentement de le dire, et de ne pas laisser ce type d’interaction se mettre en place parce que c’est le type d’interaction qui peut vous emmener en dehors de votre consentement assez facilement.
C’est important pour moi aujourd’hui que vous connaissiez cette roue du consentement, qu’on comprenne les différentes interactions possibles et aussi que vous vous autorisiez à voir qu’il est nécessaire que vous soyez consentants dans toutes les interactions que vous avez avec toutes les personnes et pas uniquement dans le cadre de la sexualité. je vous encourage à aller creuser toutes ces questions, il est évident qu’il n’est pas possible d’approfondir un sujet aussi vaste dans un podcast d’une vingtaine de minutes, c’est un outil très puissant et je vous invite à vous pencher sur la question, en plus de ce que je vous propose ici. J’ai envie de vous montrer que parfois, il n’est pas normal et ok que vous fassiez des choses que vous n’avez pas envie de faire ou que certaines personnes vous demande de faire des choses que vous n’avez pas envie de faire, comme nous avons davantage intégré la notion de consentement dans le cadre de la sexualité, posez-vous la question : si c’était un interaction sexuelle qui vous étiez demandé, si vous transposiez une situation que vous vivez avec une interaction sexuelle comme je l’ai fait précédemment, est-ce que cela se passerait de la même manière, est-ce que vous seriez en mesure de voir les choses de la même manière ? J’ai envie de vous encourager à ne pas être dans le sacrifice, mais si vous voulez donner aux autres, de ne pas être dans « au-delà » du permettre, et d’endurer les situations, j’ai envie de vous encourage à ne pas être dans le sacrifice, ce n’est pas me respecter que d’être en dehors de mon consentement, ça me fait avoir des émotions désagréables, ça me fait être à un endroit où mes besoins primaires ne sont pas remplis, mes besoins d’estime, de sécurité émotionnelle, si je suis en dehors de mon consentement, je ne veux pas aller dans cette direction, si vous n’êtes pas dans votre consentement, vous ressentez des émotions désagréables et vous êtes en dehors de vos besoins remplis. Ce n’est pas pour autant que je ne veux pas avoir une interaction agréable avec la personne, si par exemple, la personne aimerait que l’on aille au cinéma tous les deux, plutôt que moi je sois dans le sacrifice en y allant alors que je n’en ai pas envie, je vais plutôt me dire ok à quel moment je peux être dans le service, à quel moment je peux lui donner ce moment de cinéma, à quel moment cela sera juste pour moi et de réfléchir à ce moment où vous avez vraiment envie de donner à l’autre, et d’être dans la générosité et non dans la fausse générosité comme je l’évoquais dans un ancien épisode, ne pas être dans le sacrifice, et que parce que vous n’êtes pas dans le sacrifice ce vous ne donnez jamais rien aux autres, cela veut dire que vous le faites dans votre consentement, et posez vous la question de « comment je peux servir ? A quel moment je suis disposé-e à donner et de quelle manière ? », vous verrez que si vous faites ce simple exercice, vous allez être beaucoup plus présents et volontaires lorsque vous allez donner, vous allez surtout avoir des interactions de meilleures qualité, vous n’allez pas nourrir de ressentiments, et vous allez pour autant être en mesure de partager autant avec les autres et ce sera plus juste pour vous.
Pour « prendre », c’est la même chose, quand vous faites une action, il y a pleins de moments où l’on ne s’autorise pas à dire : « moi j’aimerais bien ça », j’aimerais telle ou telle chose, on s’empêche d’aller chercher ce dont on a besoin alors qu’il y aurait pleins de personnes pour le permettre et qui trouveraient ça cool, si vous vous avez des choses que vous avez envie de faire, vous vous dites que vous aimeriez que vous aimeriez faire telle ou telle chose, une balade, un projet, une interaction à plusieurs, un voyage, quelque chose qui implique l’autre personne ou que l’autre personne se retrouve à permettre quelque chose, elle n’en aurait pas été le moteur, elle n’aurait pas pris cette initiative. Par exemple, mon copain avait très envie de faire de l’escalade, je n’irai pas moi-même m’inscrire dans une salle d’escalade, ça ne me viendrait pas à l’esprit, ce n’est pas quelque chose que j’aime particulièrement, je ne déteste pas cette activité non plus, lui en avait très envie et si il n’était pas venu vers moi pour me dire « Esther, est-ce que ça te dit qu’on aille ensemble en faire ? », il n’aurait pas pu répondre à un de ses besoins, s’il n’avait pas osé demandé et s’il n’avait pas oser prendre, il y a une diabolisation du « prendre », alors que « prendre » c’est dans le consentement, c’est à dire qu’aujourd’hui je suis très heureuse qu’il ait proposé d’aller à l’escalade même si moi je ne suis pas en train d’accueillir, je ne me dis pas « je suis en train de recevoir un super moment », c’est moi qui permet, mais j’adore ça, j’adore que lui puisse prendre ce moment pour lui et qu’on soit dans cette interaction là, qui n’est absolument pas abusive, elle est dans le consentement.
Sur le fait de faire l’action, il y a beaucoup de complexe autour de « servir », c’est ce que je vous disais un peu plus tôt, et autour de « prendre » parce qu’il y a cette peur sous-jacente de devenir un violeur, et en réalité non. Il en va de même dans les interactions sexuelles, ne pas hésiter à aller dire ce que vous aimeriez faire et vivre comme interaction. J’avais envie de vous proposer de voir ces deux aspects là, de vous autoriser à « servir » au moment où c’est juste pour vous et de vous autoriser à « prendre », à demander s’il est possible pour vous de prendre dans ces situations et dans tous les domaines de votre vie.
En guise d’exercice je vous encourage à vous demander : « Dans quel domaine de ma vie je suis dans une situation où mon consentement n’est pas respecté ? ». Vous pouvez aussi vous poser la question pour aller plus loin : « à quel moment, j’emmène d’autres personnes en dehors de leur roue du consentement ? » (pas uniquement dans le domaine de la sexualité, dans tous les autres domaines), quelles interactions j’ai envie d’avoir avec les personnes pour ne pas que ça se produise et que chacun consent à être là.
Je m’arrête là pour aujourd’hui, je vous souhaite un excellente journée, un excellent week-end et je vous dis à la semaine prochaine !
[…] et de soi-même, si on le souhaite, rappeler ça lors de l’échange avec l’autre. Nous avons parlé récemment de la notion de consentement, dans l’épisode 149, le consentement va au-delà de la sexualité, dire non s’applique à tous les autres […]