Retranscription écrite du podcast :
Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach. Je suis Esther Taillifet et dans ce 18ème épisode on va faire un bilan de réussite.
Vous allez me dire : » qu’est-ce que c’est qu’un bilan de réussite ? « . On connaissait le bilan de compétences mais pas le bilan de réussite. Notre objectif aujourd’hui va être de faire le bilan de ce que l’on a réussi dans notre vie, ou des choses qu’on souhaitait avoir et que l’on a obtenu dans notre vie et qu’on ne voit plus, auquel on ne prête même plus attention. On ne voit plus nos réussites, et on a tendance à voir uniquement les échecs et les choses négatives autour de nous.
On en a déjà un peu parlé dans les podcasts 8 et 9 qui traitaient de la confiance en soi et de l’estime de soi, lorsque l’on obtient quelque chose très souvent cette chose perd de la valeur pour nous. A partir du moment où l’on a réussi à faire quelque chose, d’un seul coup il a beaucoup moins d’intérêt pour nous et on se dénigre et on se dit : » cette chose ne devez pas être très dure à obtenir sinon je ne l’aurai pas obtenue, donc cette chose là n’a pas de valeur « . Et on fait souvent ce raccourci (à tort) en étendant cela à nous-même : » donc je n’ai pas de valeur « .
On a tendance à oublier de faite, les choses qui ont été réussies et à les mettre de côté.
Pourquoi est-il intéressant de faire une liste de ce que l’on a réussi à faire ? De remarquer que l’on a tendance à oublier ce que l’on réussi à faire ?
Parce que notre état d’esprit, ce que l’on pense comme étant réel, le fait de penser que on échoue tout le temps et que l’on a pas réussi grand chose cette année, cela va façonner notre état d’esprit pour les semaines, les mois et les années à venir. Cela va influencer notre vision globale mais cela va aussi influencer notre prise de décision pour la suite. C’est pour cela que c’est intéressant pour nous de regarder de la manière la plus objective possible ce que l’on a réalisé dans notre vie, ce qui est important pour nous d’obtenir et ce que l’on a déjà obtenu pour avoir une vision plus claire du futur.
A propos des biais cognitifs
Ce que je suis en train de vous décrire là, le fait de retenir uniquement nos échecs et ce qui est négatif de manière générale c’est un mécanisme connu qui fait parti d’un ensemble qui s’appelle les biais cognitifs ou biais psychologiques qui font que l’on a une perception et un jugement qui est biaisé et non-objectif de la situation.
Parmi les biais que l’on connait, il en existes énormément, je vais vous end citer trois que vous connaissez certainement dont un qui va nous intéresser particulièrement dans ce podcast aujourd’hui.
Le biais de confirmation
Le premier c’est le biais de confirmation, que vous connaissez peut-être déjà que vous avez peut être déjà entendu. C’est le fait de donner plus de poids à des informations à propos d’une croyance que l’on a déjà. On va avoir tendance à valider par notre expérience ce que l’on croit comme étant déjà vrai, ce qui va avoir tendance à biaiser notre vision objective sur les différentes informations qui nous parviennent.
Par exemple, lorsque l’on va dire : » j’ai toujours le feu rouge quand j’arrive à ce carrefour « . Ce qu’il se passe, c’est qu’à chaque fois que l’on va être confronté au feu rouge, on va le noter dans notre cerveau, ce qui va confirmer la croyance que l’on a qui est que l’on a jamais de chance et qu’on a toujours le feu rouge à ce carrefour ? Mais lorsque l’on a le feu vert, on ne retient pas l’information et elle ne confirme aucune croyance et on a donc tendance à la laisser de côté.
Dans le même genre : » à chaque fois que je prends le train, il y a une grève « . C’est ce type de confirmation là qui altère notre jugement, puisque l’on a tendance à laisse de côté les informations qui ne valident pas notre croyance de base et à donner beaucoup plus d’importance qui valident notre opinion. Ce qui peut être un peu gênant lorsque l’on essaie de se forger une opinion objective.
Le biais d’auto-complaisance
Un autre biais que l’on connait également c’est le biais d’auto-complaisance. C’est un biais selon lequel on a tendance à attribuer nos succès et nos échecs selon des circonstances extérieures, à la malchance, aux autres… C’est à dire que l’on va avoir tendance à se dire que si cette chose n’a pas marché c’est parce que c’est la mauvaise période de l’année, parce qu’il y avait de la neige, parce que c’est la pleine lune. Le grand classique que l’on entend beaucoup c’est : » c’est la conjoncture actuelle, c’est la crise « . Cela fait parti de ce qu’on appelle le biais d’auto-complaisance, le fait de penser que nos échecs ne sont pas liés à nous mais à des circonstances extérieures.
Le biais de négativité
Le troisième biais cognitif dont j’ai envie de vous parler dans ce podcast c’est le biais de négativité, c’est celui qui nous intéresse particulièrement ici. C’est un biais qui est connu comme ceux cités précédemment. Il s’agit de donner beaucoup plus de poids aux choses négatives, et donc à s’en souvenir davantage par rapport aux choses positives.
Cela va influencer notre attention, en pratique on va accorder plus d’attention aux évènements négatifs qui vont se produire dans notre journée ou dans notre vie, les choses auxquelles on attribue une pensée négative. Encore une fois, une circonstance négative, si vous vous rappelez du modèle de Brooke Castillo dont on parle depuis le début de ce podcast (je vous renvoie aux épisodes 3 et 4 si vous découvrez le podcast aujourd’hui), la circonstance est complètement neutre, ce qui ne l’est pas c’est la pensée que l’on choisit d’avoir à propos de cette circonstance. Ces pensées sont souvent choisies d’un point de vue social, c’est à dire que l’on s’est mis d’accord d’un point de vue sociétés et moral que certaines choses qui nous arrivent sont positives. Et il y a certaines choses qui nous apparaissent comme négatives parce qu’elles nous attribuent directement une émotion négative, qu’elle nous font mal…
Notre cerveau va avoir tendance à porter plus d’attention sur les choses négatives, naturellement on va apprendre davantage de ces choses négatives car notre attention est portée sur elles. Ce qui va faire que l’on va tirer davantage de leçons des situations négatives, ce qui fait qu’elles vont avoir plus de poids dans notre prise décision. C’est ce qui va faire que l’on va avoir peur du risque puisqu’on va donner plus de poids à toutes les mauvaises choses qui pourraient se produire sur notre passage et qui pourrait faire que notre idée ne va pas marcher, parce que dans notre expérience de vie on a davantage retenu ce qui pourrait aller mal et toutes les situations désagréables et les émotions négatives qui y sont associées (comme vis à vis de l’échec par exemple). Tandis que l’on a tendance à ne pas faire la même chose avec les choses agréables, c’est pourquoi on a tendance à avoir peur du risque.
C’est quelque chose dont on a déjà parlé lorsque l’on évoquait l’origine des émotions (podcast numéro 7 » L’origine des émotions « ), notre cerveau tout ce qu’il veut c’est nous protéger et faire que l’on reste en vie et globalement rester en vie cela va vouloir dire fuir les émotions négatives et poursuivre des émotions positives, parce que tout ce qui va produire des émotions agréables ça va être des choses qui vont nous maintenir en vie : manger, boire, dormir, se reproduire… Et c’est comme cela que l’on va se retrouver avec des addictions, le fait d’aller plutôt vers des choses agréables que vers la difficulté et les choses qui sont désagréables. C’est comme cela par exemple qu’on va se retrouver à passer 3 heures sur Netflix alors qu’on a un rapport à écrire.
On a appris à fuir l’émotion négative, c’est ce que l’on a appris de l’expérience et c’est comme cela que notre cerveau fonctionne et c’est comme cela qu’il nous a maintenu en vie (en tout cas c’est l’une des hypothèses en vigueur concernant l’évolution), pour notre cerveau il est mieux de fuir les émotions négatives puisqu’elles sont associées au danger.
Que l’on est ce biais négatif naturellement, c’est une façon qu’à notre cerveau de nous maintenir en vie. C’est naturel pour nous d’avoir ce biais négatif, si vous remarquez que vous avez tendance à retenir les choses négatives qui vous arrivent, les échecs, les situations désagréables et les émotions qui y sont associés plutôt que les moments agréables et les émotions positives, ce n’est que vous êtes particulièrement pessimistes c’est que c’est de cette manière dont fonctionne votre cerveau et c’est comme ça qu’il nous maintient en vie.
Ce qu’il peut être intéressant de faire pour nous c’est de remarquer cela, on a tendance à ne pas voir les choses positives qui nous arrivent, et ne pas voir les réussites puisque c’est ce dont on va parler aujourd’hui puisque c’est ce qui nous intéresse aujourd’hui mais c’est valable également pour toutes les choses positives qui nous arrivent au cours de l’année, on va avoir tendance à penser qu’il ne nous arrive jamais rien de bon.
Dans le cadre des échecs et des réussites on va avoir tendance lorsque l’on fait le bilan de notre année, ou faire un bilan dans un cadre général, on va avoir tendance à se dire des choses du genre » mais je ne réussis rien, j’ai raté pleins de choses « , on a donc tendance à ne pas avoir de la gratitude envers les choses qui sont positives puisqu’on ne les voient pas.
Faire une liste de ses petites et grandes réussites
Ce que je vous propose de faire c’est de contrer cela et de prendre n’importe quel moyen que vous préférez pour écrire (ordinateur, bloc note, papier crayon, téléphone…) et de prendre un peu de temps et de lister les choses que vous voulez vraiment dans votre vie, des choses pas très importantes mais que vous êtes contents d’avoir et que vous auriez envie d’avoir si vous ne les aviez pas, soit des choses qui sont vraiment importantes pour et si vous ne les aviez pas vous vous battriez pour les avoir.
Quelles sont toutes ces choses que vous avez dans votre vie et que vous souhaitez vraiment avoir ? Je vous propose de les lister et d’en avoir au moins 50, vous allez me dire que ça va être un peu difficile mais vous allez voir que non, peut-être un peu à certains moments mais justement c’est l’exercice. Cela va être des choses que vous ne voyez pas/plus, qui sont des choses que vous avez envie d’avoir et que vous avez déjà.
Je ne vous propose pas de raisonner en terme de chose que vous n’avez pas, parce que l’on a tendance à raisonner en terme de manque (justement avec le biais de négativité). Mais justement de réfléchir à tout ce que vous avez déjà.
Je vais vous donner des exemples, il y a des petites et des grandes choses dans ma propre liste (je ne vais pas tout vous dire et surtout pas les choses qui sont très personnelles et liées à la famille) mais dans les choses que j’ai et que je suis contente d’avoir parce que si je ne les avais pas je me dirais : » tiens, j’aimerais bien les avoir, je me battrais bien pour les avoir « .
C’est par exemple le fait d’avoir l’usage de mes deux jambes, c’est quelque chose pour lequel j’oublie parfois d’éprouver de la gratitude mais j’ai l’usage de mes deux jambes. Sur la liste j’ai le fait d’avoir la sécurité dans mon pays, le fait de ne pas être dans un pays en guerre, ne pouvoir sortir dans la rue et de me dire : » tiens je ne risque pas de me faire tirer dessus « , c’est quelque chose que si je ne l’avais pas je me battrais pour essayer l’avoir. Le fait d’avoir un doctorat en astrophysique c’est quelque chose pour lequel je me suis battue et auquel je ne pense plus, si je ne l’avais pas c’est quelque chose pour lequel je me battrais. Il en va de même pour la sécurité financière, c’est quelque chose que j’ai déjà et que j’aimerais avoir si je ne l’avais pas. Idem pour mon appartement, le fait d’avoir un appartement dans lequel je me sente bien, d’avoir les yeux clairs, d’avoir mon permis de conduire, d’avoir la santé, d’avoir des amis qui m’aiment et avec lesquels je me sens bien, d’avoir ma chaine YouTube sur laquelle je peux m’exprimer librement et partager mes opinions.
Votre liste sera peut être complètement différente de la mienne mais dans votre cas peut-être que vous avez des enfants et que vous voulez qu’ils soient en bonne santé, peut-être que vous avez un véhicule qui vous permet d’aller au travail tous les jours et de vous déplacer librement. Dans votre liste il y aura 50 choses, j’imagine aisément qu’avoir des enfants en bonne santé et le fait d’avoir un travail qui vous plait c’est proclament plus important pour vous que d’avoir une voiture pratique pour aller au travail.
Listez toutes les choses que vous avez et que vous êtes content d’avoir et que vous avez obtenu.
Parmi ces choses là vous allez pouvoir regarder les choses qui sont indépendantes et extérieures à vous, et qui sont issues des circonstances, des choses qui ne sont pas issus des résultats que vous avez crée dans le monde, c’est à dire pas des réussites qui vous appartiennent, pas le résultat du modèle de Brooke Castillo, pas quelque chose que vous avez crée avec vos pensées, vos émotions et vos actions.
Parmi c’est chose là il peut y avoir de la chance ou des circonstances extérieures, par exemple dans mon cas il va avoir le fait d’avoir les yeux verts, c’est pas quelque chose que j’ai pas » réussi à obtenir « , mais si je ne les avaient pas je me dirais : » tiens j’aurais bien aimé avoir les yeux verts « , c’est indépendant de ma volonté. C’est comme l’usage de mes jambes, c’est pareil ce n’est pas quelque chose que j’ai choisi et j’aurais pu très bien naitre avec une maladie génétique qui ferait que je n’aurais pas eu l’usage de mes jambes.
A l’inverse, des choses pour lesquelles j’ai du travailler, pour lesquelles j’ai du me mettre dans un » mindset « (un état d’esprit), j’ai du générer pour moi-même des pensées, des émotions puis des actions pour avoir des résultats. Parmi ces choses là il y le fait d’avoir mon doctorat en astrophysique et mon permis par exemple, j’ai obtenu et crée cela pour moi dans le monde.
Notez parmi toutes ces choses là quelles sont vos réussites, cela va vous permettre de faire un bilan de réussites dans un premier temps, de regarder quelles sont toutes les choses que vous avez crée cette année ou les années précédentes (à vous de voir si vous voulez concentrer votre travail sur l’année en cours ou sur votre vie de manière générale) .
Cela va vous permettre de faire un bilan de réussite et de voir les choses que vous avez réussi et de vous apercevoir qu’il y a en réalité beaucoup plus que ce que vous pensez, parce que vous avez naturellement ce biais de négativité.
Le deuxième intérêt de cet exercice c’est de se rendre compte de toutes les choses que l’on souhaite avoir dans notre vie et que l’on a déjà, quelles soient crée par notre activité ou pas, ou que ce soit pas des choses naturelles (des traits physiques par exemple) ou indépendant de notre volonté. Le fait de lister les choses que l’on souhaite avoir et que l’on a déjà, cela va nous permettre de prendre le temps de ressentir de la gratitude vis à vis des choses que l’on a déjà mais qu’on oublie.
Il y a un double objectif dans cet exercice : se rendre compte des choses que l’on a réussies et des choses que l’on souhaite avoir et que l’on a déjà.
Parce que nous vivons dans une société où l’on vit beaucoup par le manque et on oublie de voir ce que l’on a et que l’on est heureux d’avoir.
Il y a pleins de choses très simples qui peuvent compléter vos listes comme par exemple pouvoir accéder à Internet et pouvoir écouter ce podcast. On ne se rend plus compte qu’on les a et qu’on pourrait ressentir plus de gratitude de les avoir dans nos vies.
Parmi les choses que j’ai envie de vous dire aujourd’hui c’est notamment à propos du programme que je vous propose (programme obsolète remplacé par La Communauté). Créer ce podcast cette année fait partie des choses que je suis contente d’avoir et que je considère comme une réussite, parce que j’ai réussi à m’y tenir, que j’ai réussi à me dépasser concernant cet objectif. En soi, pour beaucoup de personnes ça peut sembler facile alors que ça ne l’était pas pour moi, je suis heureuse d’avoir fait ça et je suis fière de moi pour ça.
Parmi les raisons qui m’ont poussées à faire ce podcast c’était la volonté de créer quelque chose pour aider les personnes qui me suivent et qui me suivaient déjà sur ma chaine YouTube. Sur ma chaine YouTube je fais du contenu très inspirationnel, j’aime beaucoup cette idée de suivre les gens et leur parcours et que ça nous inspire dans le notre. Mais ce que je voulais aussi c’était de proposer quelque chose de très concret, qui permettent d’aider et de proposer des solutions (pas forcément des solutions toutes faites), de proposer des outils pour que chacun construise sa solution.
C’est pour cela que je vous parle de devenir son propre coach, c’est important d’avoir les outils et de les appliquer pour soi. Et ce que j’ai fait depuis le début de ce podcast c’est vous proposer dans mon programme d’auto-coaching (remplacé par La Communauté).
Ce que j’ai appris ces trois derniers mois, c’est qu’en réalité c’est très intense comme travail. Je me rendais pas forcément compte qu’il faut du temps pour s’approprier les outils de coaching et d’auto-coaching que je vous proposais.
J’étais un peu dans la volonté de vous proposer un produit très complet, le moins cher possible, où vous ayez tout les outils en mains et que vous puissiez vous les approprier. Je voulais vous délivrer beaucoup pour peu d’argent parce que c’est important pour moi que vous ayez un maximum d’informations et de suivi.
Mon objectif à long terme c’est de continuer à vous proposez du coaching tous les mois, à propos de thématiques spécifiques. L’objectif de ces coaching que je vous propose c’est d’apprendre à se connaitre et de comprendre ce qu’il se passe dans votre tête et d’utiliser ces outils pour comprendre quelles sont nos émotions, quelles sont nos valeurs, qu’est-ce qui est important pour nous. Et cela va s’adresser à toutes les personnes qui vont s’intéresser au développement personnel, pour de multiples raisons : parce qu’elles ne savent pas trop où elles en sont, ou elles savent mais lorsqu’elles écoutent le podcast se demandent si elles font les bons choix, et qui se remettent en question plus globalement.
L’objectif de ce que je vous propose c’est de se poser et de se demander : qu’est ce que je veux ? Qu’est ce qui est important pour moi ? Comment je fonctionne ? Quels sont mes besoins ? Quelles sont mes valeurs ? Et de comprendre pourquoi j’ai des problèmes dans mes relations avec les autres ?
Ce sont des prestations que je trouve essentielles, j’essaie toujours quand je crée quelque chose c’est de vous proposer ce que je suis capable de faire de mieux à un instant donné, pour moi c’est ce qui a la meilleure valeur que je peux vous donner actuellement et qui a pour objectif de faire un travail de fond. Alors c’est sur que ça peut paraitre moins sexy qu’une solution où je vais vous dire de mener un travail et qu’à la clé il y aura une solution toute faite. Mais c’est un travail essentiel pour faire son état des lieux émotionnel.
Je me répète mais mon objectif c’est que vous soyez autonome et que vous puissiez utiliser ces outils et les appliquez dans votre vie comme j’ai pu le faire moi-même, que vous puissiez obtenir les changements dans votre vie que vous souhaitez et que j’ai moi-même pu faire dans ma vie.
Il s’agit de prendre le temps d’apprendre à se connaitre et quoi qu’il arrive avec le temps son développement personnel on le fait qu’on le veuille ou non en quelque sorte, à force de passer du temps avec soi au fil des années. Je trouve que l’on écoute pas assez ses émotions en général parce que ce n’est pas valorisé socialement. Là ce que je vous propose c’est de prendre le temps de faire ce travail là et de le faire ensemble et de vous accompagner dans ce travail là.
A l’issu de ce travail vous comprendrez comment vous fonctionnez, qu’est ce qui est important pour vous, pourquoi vous vous sentez comme ci ou comme ça, une fois qu’on a fait le point sur comment on se sent et qui on est, c’est seulement à ce moment là qu’on verra si on veut travailler sur des points sensibles, sur des objectifs bien précis.
Mais pour moi, c’est important de se poser et de faire son bilan émotionnel et comment vous sentez-vous et quelle est votre santé mentale ? Parce qu’il s’agit de santé mentale, lorsque l’on parle de santé mentale on a souvent la sensation de parler de maladie mentale, alors qu’au même titre que notre santé physique, on ne s’intéresse pas à elle que lorsque l’on est malade. On s’intéresse à notre santé physique au quotidien quand on fait su sport, qu’on s’intéresse à ce que l’on mange. Ce que je vous propose de faire c’est de vous occuper de votre santé mentale sans attendre d’être en burn out, d’être dans une situation de dépression et d’être mal. Bien que l’on puisse évidemment déjà s’intéresser à sa santé mentale lorsque l’on est en burn out ou en dépression d’ailleurs. L’objectif c’est de porter attention à ce qu’il se passe dans notre tête, à nos pensées et à nos émotions.
C’est quelque chose que vous pouvez tout à faire faire sans moi, tout les outils je vous les ai donné, ils sont dans le podcast, je vous y donne accès gratuitement, et je le répète encore une fois mais pour moi l’information que je vous propose, elle sera toujours gratuite. Que ce soit sur ma chaine YouTube, dans mon podcast ou dans un livre si je suis amenée à en écrire un jour (ce qui est probable) il y aura un PDF gratuit, il y aura toujours un moyen d’obtenir l’information gratuitement venant de ma part. C’est mon système de valeurs, c’est peut-être mon biais académique, pour moi la connaissance doit être gratuite, elle n’appartient à aucun être humain.
Ce qui ne l’est pas et ce que je vous propose c’est du suivi, c’est du coaching et dans de l’application de ces outils au quotidien, je passe moi-même par un coach. Là le coaching que je vous propose c’est du coaching de groupe, j’appelle cela de l’auto-coaching car je vous apprends à vous servir des outils en autonomie. Au final c’est malgré tout du suivi, c’est un entre-deux que je vous propose parce que c’est ce que j’ai choisi pour moi-même.
Je m’arrête là pour aujourd’hui, c’était aussi mon bilan à moi de cette année, le fait d’avoir lancé ce podcast, ce n’est pas la seule chose cette année qui a de la valeur pour moi mais c’est quelque chose que je vous partage directement et le fait de pouvoir vous aider c’est quelque chose qui me parle et j’espère pouvoir continuer à le faire davantage en 2018, et c’est mon objectif pour l’année d’après.
Je vous encourage une fois de plus à faire votre propre bilan de réussite en attendant je vous dit à la semaine prochaine !
N’hésitez pas à mettre 5 étoiles à ce podcast, à le commenter et à le partager s’il vous a plu !
Ressources
- Biais cognitifs, ressources en ligne: Wikipedia et les références qui s’y trouvent et Psychomedia
- « The 25 Cognitive Biases: Uncovering The Myth Of Rational Thinking. » par Charles Holm (livre)
[…] Episode #18 – Bilan de réussite […]
Tu m’as fait rire à ne jamais trouver le mot « gratitude » et toujours vouloir dire « bienveillance » à la place ^^
Donc merci =D
J’ai commencé à te suivre il y a une semaine et vraiment merci! Je t’ecoute avec beaucoup d’interet