Retranscription écrite du podcast :
Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach, je suis Esther Taillifet et dans ce 36ème épisode on va parler ensemble de santé mentale. C’est assez drôle de se dire que je vais vous parler de santé mentale dans cet épisode alors que c’est le sujet principal du podcast depuis le début. Le but du développement personnel est justement de s’intéresser à notre santé mentale, à nos émotions, à tout ce qu’il se passe dans notre esprit, ce que cela génère pour nous sous la forme de résultats dans nos vies. J’avais envie de consacrer un épisode à cette thématique là, parce que même si c’est un sujet en tâche de fond, on n’aborde jamais les questions du genre : que faisons-nous là ? Quel est notre objectif global ? Pourquoi s’intéresse-t-on à ces questions là ?
La réponse est : la santé mentale.
Lorsque je dis santé mentale, la première chose qui vous vient à l’esprit, et qui me serais venu à l’esprit avant que je m’intéresse au sujet, c’est la psychologie, la psychanalyse, et toutes ces questions là qui traitent les pathologies mentales. C’est à dire que lorsque quelque chose ne fonctionne pas très bien, lorsque l’on a besoin d’aide, lorsque l’on se rends compte que l’on subit une situation qui ne nous permet plus de fonctionner normalement, et d’avoir une vie normale (j’entends, une vie fonctionnelle : sortir de chez soi, aller au travail). Dans tout ces cas de figure on se retrouve peut-être face à une pathologie mentale, ou un dysfonctionnement qui justifierait de s’adresser à un médecin qui va nous aider à régler cette problématique en particulier. Je pense à des pathologies comme la dépression, troubles du comportement alimentaire, des tocs…. Tout les troubles psychiques qui nécessitent l’aide d’un médecin ou de personnel soignant pour nous aider dans cette démarche là.
Lorsque l’on pense à santé mentale, on pense à cela en général.
Si je vous demande : » à quoi pensez-vous lorsque je vous parle de santé physique ? « . Lorsque je vous parle de santé physique, il est probable que vous ne pensiez pas directement au cancer, à l’hôpital ou à la mort. Vous pensez davantage au 5 fruits et légumes par jour que vous êtes censés manger, faire du sport régulièrement etc… Vous pensez à votre santé physique autrement qu’en terme de dysfonctionnements éventuels. Vous optimisez votre santé physique, je mène des actions qui vont dans le sens de ma santé physique : je choisis les aliments que je mange, je choisis la manière dont je bouge, je choisis ma position lorsque je m’assois à mon poste de travail pour ne pas avoir mal au dos. On pense à sa santé physique au quotidien parce que c’est quelque chose qui est admis, il s’agit ici d’une problématique sociétale : l’existence de la santé physique est quelque chose qui nous frappe tous, et qui est tellement évidente au point qu’elle n’est jamais remise en doute, par contre lorsque l’on parlait de santé mentale il y a encore quelques années et je pense encore qu’il y a des milieux sociaux où la psychologie est admise. Pour beaucoup de personnes, l’impact du mental sur le physique est quelque chose qui est complètement occulté, le fait même que quelqu’un puisse être en dépression et que cela ne soit pas possible de sortir de chez lui parce qu’il est dans un état qui l’en empêche, pour plein de personnes c’est complètement obscur et inexistant. Ce n’est pas un réflexe pour nous de se dire que la santé mentale est quelque chose dont on peut prendre soin avant d’être dysfonctionnel.
C’est tout à fait naturel que d’un point de vue culturel, on ne pense pas à s’intéresser à notre santé mentale et qu’on ne pense pas les choses en ces termes. Alors que pour moi, la santé mentale est vraiment ce qu’il y a de plus important, pas que la santé physique ne le soit pas mais je pense que les deux sont vraiment liés et que tout part du mental, tout ce que l’on crée dans notre vie, tout ce que l’on crée pour nous-même, une bonne partie de nos maux physiques proviennent de nos émotions, qui proviennent elles-mêmes de nos pensées. Une bonne partie de ce que l’on vit est crée par notre cerveau, en tout cas la partie consciente de notre mental. Pour moi, c’est vraiment crucial de s’intéresser à ces questions là et de ne pas attendre d’aller mal et d’être dans un état de dysfonctionnement pour aller voir un psy, je pense que c’est quelque chose que l’on devrait tous faire un jour dans notre vie, juste faire le point.
Là où le coaching et l’auto-coaching rentre en ligne de compte c’est dans le fait de prendre soin de sa santé mentale au quotidien. L’auto-coahcing pour moi est l’équivalent de manger ses 5 fruits et légumes par jour pour prendre soin de sa santé physique. C’est un travail de fond où l’on se pose la question tous les jours de faire des choix pour s’assurer que tout va bien. De la même façon, le matin lorsque vous vous levez, vous vous étirez, peut-être que vous allez faire votre footing, prendre votre petit-déjeuner et réfléchir à votre équilibre alimentaire, pour moi c’est la même chose que de faire appel à l’auto-coaching. Tous les jours (ou quasiment tous les jours), de se demander ce qu’il se passe dans notre esprit, se poser, méditer, se demander ce que je ressens, comment je me sens au niveau de mes émotions ? De la même manière que vous vous demandez si vous avez besoin de vous étirer après avoir couru, eh bien pour vous intéressez de plus près à votre santé mentale vous allez vous demandez quelles sont les émotions qui vous traversent, à quoi je pense ? Quelles sont les pensées qui sont dans mon esprit à ce moment précis ?
Pour moi c’est comme prendre soin de sa santé mentale en tâche de fond, de manière quotidienne.
En ce qui concerne le coaching, le fait d’embaucher quelqu’un qui vous aide dans une direction, c’est la même chose que d’embaucher un coach sportif, ou peut-être un coach en nutrition, d’avoir quelqu’un qui va vous aider d’aller d’un point A à un point B, et qui va vous coacher mentalement à la manière d’un coach sportif qui va vous aider à réaliser des objectifs sportifs. Il va vous emmener du point A au point B, c’est celui qui va vous aider à améliorer vos performances physiques. En terme de coaching en développement personnel, c’est un peu la même chose. Votre auto-coaching va vous permettre de prendre soin de votre santé mentale en tâche de fond, mais parfois vous avez peut-être juste besoin d’aide pour aller d’un point A à un point B, pour réaliser un objectif précis : pour monter son entreprise, perdre du poids (c’est un domaine qui peut nécessiter de prendre un coach puisque comme vous l’avez vu dans les épisodes sur le surpoids, nous sommes amener à beaucoup travailler sur les émotions), pour améliorer ses relations amoureuses, pour améliorer ses relations au travail. Tout cela est du travail est un travail de court terme dans le but de vous emmener vers l’objectif que vous vous êtes fixé.
Lorsque vous êtes avec votre coach sportif, il s’aperçoit que vous vous êtes blessé et que vous ne pourrez pas atteindre vos performances, ou même seul d’ailleurs. Vous allez à l’hôpital, vous vous mettez au repos et il est est ors de question d’aller voir votre coach sportif alors que vous êtes plâtré. Ce n’est pas non plus le moment d’aller faire votre promenade de santé ou d’aller faire votre footing, l’objectif est de vous reposer. Eh bien là c’est la même chose avec le coaching mental, soit vous vous rendez compte seul que vous n’êtes pas en état de fonctionner, vous savez que vous êtes en dépression et/ou que vous avez des TCA par exemple, et là vous allez-vous même par votre démarche aller voir un professionnel de santé, soit vous ne le savez pas, vous savez juste que vous êtes malheureux et vous ne savez pas trop pourquoi : » j’ai pleins d’émotions désagréables, je ne sais pas vraiment quel est le problème, je sais juste qu’il faut que je change les choses « . Vous allez aller voir un coach qui va vous dire que ce n’est pas seulement d’aller d’un point A à un point B, qu’il ne va pas pouvoir vous aider parce que vous avez une fracture il faut que tu te fasses plâtrer, que tu ailles voir un médecin. Cela va être le rôle du coach de s’en apercevoir et de vous rediriger vers un professionnel de santé si cela est nécessaire.
Il y a différentes étapes : faire son jus le matin, faire son footing, sa méditation et son autochoaching, il y a l’étape suivante qui est aller voir un coach ou un nutritionniste pour vous aider dans votre plan alimentaire, vous allez aller voir votre coach sportif qui va vous aider à atteindre vos objectifs sportif, vous avez votre coach mental qui vous aide à monter votre entreprise et si vous êtes dans un cas dysfonctionnel, vous allez pouvoir allez voir un nutritionniste qui va pouvoir vous aider parce que votre rapport à l’alimentation est compliqué, parce que vous avez des allergies, des aliments qui ne vous conviennent pas, vous allez voir un médecin qui va vous aider à régler votre problématique de fracture et vous avez le psychologue qui va êtes là pour vous aider si vous êtes dysfonctionnel et qu’il n’est pas possible pour le moment de sortir de chez vous ou d’avoir un rapport normal à la nourriture, ou d’avoir des relations sociales qui vous permettent de vous intégrer socialement. A ce moment là, il n’est absolument pas question de faire du coaching.
Si vous êtes dans une période où vous avez besoin d’une aide psychologique ce n’est pas forcément le moment de faire du coaching. Très souvent, ce qu’il se passe c’est qu’au départ lorsque l’on est un peu perdu on va voir un psychologue, je pense que l’on devrait tous le faire qu’on ait la sensation ou non d’aller bien. Aller voir un psy c’est un peu comme faire un check-up physique, pour s’assurer que tout va bien, on s’aperçoit peut-être que tout ne va pas bien, on commence par régler les problèmes un à un, puis une fois que ça commence à aller mieux et qu’on est en » réeducation « en quelques sortes, en prenant en compte du fait que l’on a eu tel fracture, on peut quand même à ce moment là commencer à travailler à améliorer ses performances physiques dès maintenant.
Ce sont deux choses qui peuvent travailler ensemble mais parfois cela peut être incompatible et ce n’est pas forcément le bon moment pour commencer un coaching lorsque l’on a besoin d’avoir un médecin, qu’il s’agisse de coaching physique ou mental. Je trouvais cela important de préciser l’utilité du coaching, de la psychanalyse, de la psychologie et de l’auto-coaching, comprendre que l’on soit seul au fait de notre santé mentale. Il ne s’agit pas là de se faire son propre auto-coaching, mais c’est de soi-même s’intéresser à notre santé mentale parce que c’est nous-même qui allons commencer à diagnostiquer si quelque chose ne va pas bien pour pouvoir ensuite aller voir un médecin qui va pouvoir nous aider à poser un vrai diagnostique. Si vous-même vous n’écoutiez jamais votre douleur physique, vous ne pourriez pas aller voir un médecin pour lui dire que quelque chose ne va pas, j’ai tel out tel douleur. Il est important d’être à l’écoute de ses douleurs, de comprendre ce qu’il se passe et pour moi c’est justement ça le rôle de l’auto-coaching, et c’est pour cela que j’insiste autant dessus parce que je pense sincèrement que c’est quelque chose que l’on devrait faire, au moins s’intéresser à ses émotions et ses pensées de la même manière que l’on s’intéresse à ce qu’il y a dans notre assiette, à notre routine sportive, c’est un travail de fond sur notre santé. C’est important de comprendre ce rôle qu’a l’auto-coaching et de comprendre que cela a aussi ses limites. Il y a beaucoup de choses que l’on peut mettre en place seul même d’un point de vue de sa santé et de ses performances physiques, mais parfois cela peut être intéressant d’embaucher un coach sportif si nous avons un objectif bien précis, qui va nous aider, nous soutenir et à installer une routine sportive et alimentaire que nous avons nous-même du mal à mettre en place.
Cela peut être intéressant à ce moment d’aller voir des personnes qui puissent nous aider à ce moment là, parce qu’il va nous aider à mettre en place des habitudes pour ensuite nous laisser en autonomie, c’est aussi ça le rôle du coaching en développement personnel, en coaching mental comme je préfère l’appeler, il s’agit de vous aider à mettre en place des outils que vous allez garder sur le long terme. Peut-être qu’aujourd’hui c’est compliqué pour vous de faire de la méditation, de faire des flots de pensées et d’appliquer vos modèles, c’est encourageant d’avoir quelqu’un qui vous accompagne dans ces démarches, vous savez ce qu’il faut faire mais vous ne savez juste pas l’implémenter dans votre vie, avoir quelqu’un dans votre vie pour vous aider à mettre tout cela en place, quelqu’un qui vous permet d’être sur les rails.
Ce que je vous propose ici dans mes coachings en ligne également, ce que je fais sur ce podcast c’est que je vous donne les outils pour pouvoir vous débrouiller seul. C’est comme si vous aviez un coach sportif qui disait : » voici les outils que j’utilise avec mes clients, voici dans quel ordre l’applique, à vous de jouer « , et bien là c’est exactement là même chose. Pour moi c’est vraiment important que vous compreniez la distinction, je m’aperçois que l’on me contacte dans l’objectif de faire un coaching alors que je m’aperçois qu’il s’agit là d’un mal-être bien plus profond qui nécessite d’aller voir un psychologue en amont. Le coaching intervient si vous allez bien finalement, si vous allez bien (dans le sens où vous êtes fonctionnel), vous ressentez malgré tout un inconfort ou vous remarquez des points d’amélioration. Ce n’est pas une solution pour être plus heureux.
Je pense qu’il y a beaucoup de désinformation à ce sujet là, notamment avec les médias en France, il y a quelques mois en France on parlait de » marchands du bonheur « pour désigner les coachs en développement personnel, pour moi l’objectif n’est pas celui-là, l’objectif c’est d’être au plus proche de qui l’on est réellement, mais si nous sommes profondément malheureux parce qu’il y a des choses psychologiques en tache de fond qui ne sont pas réglées, ce n’est pas un coaching qui va vous aider.
C’était important pour moi de vous faire ces précisions à propos du développement personnel et de son rôle dans ces termes là et cela va vous permettre de vous aider vers qui vous tourner si vous avez actuellement besoin d’aide, que vous êtes en détresse et que vous ne vous sentez pas bien, et vous ne savez pas pourquoi.
Une façon simple de savoir s’il vous faut plus un coach ou un psy c’est de savoir si ce qui vous bloque est votre passé ou votre présent ?
Si ce sont vos pensées actuelles et que vous vous bloquez tout seul, et que vous n’arrivez pas à passer un cap : non-confiance en soi, peur, pessimisme, syndrome de l’imposteur. Si c’est le passé, vous formulerez vos propos plutôt de cette manière : » non mais je regrette d’avoir fait telle chose/ ma mère m’a fait ça/ il m’est arrivé ça dans le passé ce qui justifie que je ne parviens pas à faire telle chose dans le présent/ parce que j’ai subit telle chose lorsque j’étais petit « . Il y a une différence entre les deux, si votre passé est encore source de souffrance c’est que vous avez peut-être encore des choses à régler de ce côté là. Dans tout les cas cela ne vous fera pas de mal d’aller voir un psy, cela ne fait de mal à personne même lorsque vous allez bien, vous pouvez très bien commencer par cela et vous allez vite vous en rendre compte.
En commençant une psychanalyse vous allez vous retrouvez à un moment où vous allez peut-être tourner en rond, tout est sorti au grand jour, on s’est senti mal à un moment et on se sent mieux maintenant et on ne se voit plus avancer. Vous allez avoir l’impression de parler constamment des mêmes choses, la psychanalyse ne va pas vous aider à avancer car elle ne va pas vous donner des outils pragmatiques qui vous permettront d’aller d’un point A vers un point B, ce n’est pas son objectif. Vous allez vous en rendre compte vous-même, que vous aurez envie d’avancer, que vous aurez envie d’actions et d’aller à l’étape suivante.
C’est ce moment là ou vous pourrez éventuellement vous faire aider par un coach et vous pouvez de toute façon dès à présent faire votre auto-coaching. Quel que soit le moment auquel vous commencez à faire votre auto-coaching, quelle que soit votre santé mentale, que vous soyez en dépression, quelle que soit la détresse dans laquelle vous êtes, vous pouvez dès à présent faire votre auto-coaching, vous n’allez pas vous faire du mal en méditant, en faisant des flots de pensées et en vous posant des questions par rapport à vos émotions. Vous pouvez déjà être à l’écoute de vous-même.
Voilà c’est tout pour aujourd’hui, je vous embrasse, je vous dis à vendredi prochain et en attendant je vous souhaite un excellent week-end !
Le programme tel qu’il était proposé lors de la sortie de cet épisode, n’est plus disponible. Il a été remplacé par un programme de coaching en ligne de groupe: Cliquez ici pour plus de détails.
Coucou Esther, je te suis depuis l’époque de tes grands cheveux blonds 😊 j’ai 22 ans, et je m’intéresse au développement personnel depuis un bon moment, j’ai appris tant de choses, et notamment grâce à toi. Merci du fond du coeur, Esther.
Tu m’as fait avoir de prises de conscience, qui m’ont changée la Vie.
De gros bisous, et trois milliards de pensés positives, pluie de remerciements et les violons qui vont avec, je te suis vraiment reconnaissante.
Waw ! Depuis si longtemps que ça ? Merci pour ta fidèlité ! Ton message me touche vraiment.
Merci pour ce podcast qui met en lumière l’importance de la santé mentale malheureusement bien trop négligée… J’ai l’impression également qu’il est fondamental de dire aux personnes qui vont bien d’arrêter de proposer aux personnes qui vont mal (je pense surtout aux cas de dépression) des solutions qui n’en sont pas (devenir vegan, méditer, être plus positif…). Bien qu’elles puissent avoir un certain intérêt les techniques utilisées dans le développement personnel, voire même l’idée de « développement personnel » sont juste hors de portée dans le cas d’une dépression et cela n’aide personne de se les entendre offrir comme des solutions miracles à un problème qui ne serait que de l’ordre de la volonté (spoiler alert : c’est plus compliqué que ça).
Je n’ai pu commencer à m’intéresser au développement personnel qu’à partir du moment où mon cerveau n’a plus eu à focaliser toute son attention sur comment me maintenir en vie. Petit à petit je me construis surtout un cadre, ce que j’aime appeler mon « hygiène mentale », ce sont des choses que j’essaye de faire quotidiennement et qui m’aident à me sentir bien (faire du sport, me nourrir convenablement, dormir, limiter les situations stressantes, ne pas laisser le désordre s’installer dans ma chambre…). Ces petites mesures, qui peuvent parfois donner l’impression que je mène une vie de sainte, me permettent réellement de maintenir un équilibre, me protègent au quotidien. La prochaine étape sera d’introduire de la méditation ou des flots de pensée mais me voilà à procrastiner, attendre le bon moment, trouver la bonne méthode pour le faire. Je pense qu’une partie de moi a peur que le processus soit douloureux, qu’il soit trop coûteux, une autre a peur que cela fonctionne et que je ressente un véritable bien-être, je suis une complexée du bonheur, je ressens une sorte de culpabilité qui m’interdit d’être pleinement heureuse et que je dois je crois forcer un peu.
Disons que je me laisse procrastiner jusqu’à cet été, si au cours de l’été je n’arrive pas à commencer à mettre en place quelques exercices quotidiens choisis parmi les outils que tu nous suggères dans tes podcasts, il faudra que j’accepte de passer à l’artillerie lourde : ton coaching 😉
Gros bisous, bon dimanche 🙂
je viens de découvrir vos pancast, c nouveau pour moi et c très intéressant a suivre et a crée si vous voulais nous dire comment en faire et comment les publié? concernant la santé mentale, tout a changer lorsque j ai perdu mes enfants…. c une longue histoire…..
le médecin s appel un traumatologue