Appelez la intuition, conscience ou sagesse, la petite voix c’est celle qui vient des tripes et qui sait ce qui est bon pour nous. On a appris que nos nos décisions il y avait le choix entre la voix du coeur ou la voix de la raison, et que c’était socialement plus accepté de suivre la raison mais on oubli la petite voix. Dans cet épisode, je vous explique ce qu’est cette petite voix et comment y accéder.

Retranscription écrite du podcast :

Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach, je suis Esther Taillifet et dans ce 39ème épisode nous allons parler de la petite voix. La petite voix c’est cette voix interne que l’on a tous qui est là pour nous guider et nous dire dans quelle direction aller, comment prendre nos décisions.
Je l’appelle  » la petite voix «  parce qu’elle n’est pas très audible en général (sauf à certains moments de notre vie où elle devient très présente et je vais vous expliquer pourquoi. Je l’appelle ainsi parce que parfois on essaie de la contenir, de l’écraser, de l’oublier et de la mettre dans un placard dans un coin de notre tête parce qu’on ne veut pas l’écouter, on ne veut pas écouter cette petite voix qui est là pour nous guider, pour nous dire ce qui est bon pour nous et ce qu’on a vraiment envie de faire. Cette petite voix son souci c’est qu’elle ne va pas dans le sens de notre ego. Notre ego est plus fort, son but est de protéger notre identité (en tout cas celle que l’on montre), il y a un rapport défensif vis-à-vis de l’ego, on veut le préserver à tout prix et nous sommes sur la défensive à ce sujet parce que c’est en quelque sorte une question de survie. Nous avons parler de l’ego dans un épisode précédent, si c’est une notion qui ne vous parle pas je vous recommanderais d’en prendre connaissance et d’écouter les premiers épisodes de ce podcast pour pouvoir suivre ce que je vous raconte ici.

Quel est le rôle de la petite voix ?

Cette petite voix qui est reléguée dans un coin a pour rôle de vous dire ce que vous êtes censé faire dans votre vie. Cette petite voix est à distinguer du coeur et de la raison parce que très souvent lorsque l’on a une décision à prendre on nous dit que l’on a deux choix : soit écouter suivre la raison, soit suivre le coeur. La raison va être de penser le pour et le contre face à une décision à prendre :  » si je fais ce master/ si je choisis ce nouveau travail «  et le coeur c’est le ressenti émotionnelle (est-ce qu’on le sent bien, est-ce qu’on le sent mal ?). Le coeur c’est ce qui va nous faire prendre des décisions hâtives ou on ne se sent pas bien, nous avons une idée que l’on souhaite développer, il y a une urgence à mettre cela en place, une volonté de vite faire les choses pour se sentir bien et quelques mois plus tard, avec le recul, on se dit que l’on s’est peut-être un peu trop précipité, peut-être que j’ai pris cette décision un peu trop rapidement, et en réalité il s’agissait d’une réaction émotionnelle.
Notre petite voix n’est ni l’un ni l’autre, ce n’est ni le pour et le contre de la raison, ce n’est pas le coeur, pour moi je le décris comme les tripes, le ventre ce que vous avez au fond de vous, le vrai vous. Le coeur et la raison sont différentes facettes de votre ego, c’est pour cela que ce n’est pas forcément une bonne chose de les suivre aveuglément parce qu’ils vont peut-être vous faire prendre des décisions qui ne sont pas les meilleurs pour vous, alors que votre petite voix sait vers quoi vous devez aller.

L’exemple de l’email envoyé sur le vif

Je vais vous donner un exemple de cas où on pense suivre sa petite voix alors que l’on suit ses émotions. Je vais prendre un exemple tiré de mon expérience personnelle, il y a quelques années, j’étais en thèse à l’époque, et durant mon doctorat je me suis retrouvée plusieurs fois à devoir aller en conférence, et nous n’avons pas forcément beaucoup de moyens financiers lorsque nous sommes thésards et que l’on est à Paris (bien que je faisais du monitorat). Lorsque l’on part en voyage à l’étranger, au CNRS en astronomie on va avoir un montant qui va nous être remboursé pour notre journée de frais, c’est forfaitaire (une partie pour la chambre et une autre partie pour la nourriture). En tant qu’étudiants en thèse, nous essayons de se grouper dans les chambres comme elles sont extrêmement grandes aux Etats-Unis. Je me suis retrouvée sur une liste d’étudiants que je ne connaissais pas et qui venaient d’autres laboratoires, je me suis retrouvée dans un échange d’emails et il faut savoir que je suis plutôt du genre  » sauvage «  comme personne, c’est à dire que j’aime bien mon indépendance. Dans l’arrangement pour les chambres, il y a eu une sorte de quiproquo (ce qui arrive régulièrement lorsque l’on échange entre êtres humains, surtout lorsque cela passe par l’écrit). L’une des personnes à la tête du projet de la répartition des chambres et qui avait pris le problème à bras le corps m’envoie un email pour me faire savoir qui allait partager ma chambre.
C’est quelque chose que j’ai extrêmement mal pris, j’avais l’impression que l’on m’avait imposé quelqu’un, enfin bref, je pestais contre cette décision. Ce qui m’amène à rédiger un email bien senti pour expliquer que j’avais encore le droit de choisir avec qui je voulais partager ma chambre (je ne me souviens plus de la teneur exacte du mail), un mail soi-disant cordial en apparence qui cachait en réalité un ton passif agressif. J’avais eu une réaction complètement émotionnelle à ce moment là, j’étais persuadée de suivre mon coeur, je me disais que c’était en dehors de mes valeurs, c’était important pour moi d’être prise en considération. J’étais persuadée de suivre ma petite voix que j’appelais le coeur, parce que je n’avais pas fait cette distinction à ce moment là et 3 jours après, lorsque j’ai relu mon email, je me suis rendue compte que j’aurais pu ne pas avoir cette réaction à vif sur le moment. J’aurais pu laisser retomber la colère et la peur et envoyer un email sur un ton plus calme.
C’est un exemple qui peut vous montrer comment le coeur peut nous emmener dans la mauvaise direction.

Le cas de figure du choix d’études

Autre exemple pour nous montrer comment la raison peut nous emmener dans la mauvaise direction, le conditionnement social nous pousse à faire des choix d’études qui sont des choix d’études supérieures, ce qui n’est pas un problème en soi. Ce qui est un problème par contre, nous avons tendance à à faire ce choix parce que l’on peut, on choisit le maximum que l’on est capable de faire d’un point de vue scolaire, sans se poser la question de ce que nous dit la petite voix. C’est quelque chose que j’ai constaté lorsque j’ai été brièvement professeur en collège et en lycée, c’est à dire que j’avais des élèves qui savaient ce qu’ils voulaient faire, notamment un élève de 3ème qui obtenait de bons résultats, il pouvait aller en seconde mais sa passion c’était la cuisine. Il voulait absolument poursuivre des études dans ce domaine là et les professeurs qui le suivaient voulaient à tout prix qu’il aille en seconde générale parce qu’il pouvait le faire. J’avais cet élève en cours et il était revenu d’un stage en restauration et il en état revenu avec les yeux qui pétillaient lorsqu’il nous présentait son rapport de stage (ce qui est assez inhabituel pour le rapporter), cet élève vibrait lorsqu’il parlait de cela. A l’époque j’étais très jeune professeure, complètement inexpérimentée, pas du tout légitime aux yeux des autres membres du conseil de classe, c’est ce genre de situation où l’on oriente cet élève en seconde générale, alors ce qui ne veut pas dire qu’il ne pourra pas faire de cuisine un jour, mais il a sa petite voix qui lui dit de faire de la cuisine, on le pousse à faire une seconde générale parce que tu peux, passe ton bac et dirige-toi vers la cuisine après cela. Le problème c’est que l’on fait perdre beaucoup de temps à cet élève, on le fait douter, on le fait se sentir inconfortable. Et cela ne marche pas sur le bonheur à long terme, en réalité cette petite voix restera là quoi qu’il arrive.
On ne peut pas ignorer qui on est, nous pouvons faire des choix rationnels, c’est souvent ce que l’on fait tous, on se retrouve à faire des études et à se rendre compte des années plus tard que l’on ne sait plus vraiment pourquoi nous avons fait tout cela. On se dit selon les cas de figure, mais nous avons suivi cette voie parce que l’on pouvait le faire, parce que socialement on nous a poussé à le faire, parce que c’était raisonnable, parce qu’il y avait plus de débouchés (la vidéo YouTube où j’évoque cette thématique). Le problème c’est que l’on ignore cette petite voix et qu’au moment de faire ces choix nous sommes portés par notre ego, l’égo qui est là pour nous protéger, pour nous faire peur et nous dire :  » il faut survivre socialement et économiquement, il faut préserver son image et son identité pour avoir l’air génial socialement et pour être accepté par le groupe « .
Ce qui fait que cela devient parfois très difficile d’écouter la petite voix. Elle est un peu cachée derrière tout cela, et on peut se dire :  » est-ce que c’est déraisonnable de prendre en considération la raison et le coeur dans nos choix ? « 
Absolument pas.
La petite voix est de l’ordre de l’intuition, de la conscience et de la sagesse (choisissez le terme qui vous parle le plus), c’est quelque chose qui est au dessus de tout ça, qui a pris de la hauteur et qui a conscience des émotions ( » en effet je me sens dans un inconfort émotionnel j’ai besoin de me sentir mieux urgemment, j’ai un truc que j’ai envie de faire il faut que je me lance à tout prix dans cette direction « ), la petite voix a conscience des contrastes du type : payer le loyer, amener les enfants à l’école… Toutes ces choses raisonnables à prendre en compte mais la petite voix sait regarder tout cela et malgré tout avoir un avis et vous dire :  » c’est vers ça que tu dois aller « .
Vous vous souvenez peut-être dans l’épisode où je vous parlais de comment trouver sa voix et comment devenir soi, je vous disais que l’objectif est de s’écouter pour savoir qui l’on est.
Tout l’objectif du coaching, et de l’autocoaching est de réussir à accéder à cette petite voix et de savoir qu’est-ce que votre petite voix, votre intuition a à dire ?
Nous sommes très nombreux à nous dire que nous ne savons pas ce que nous voulons, nous ne savons pas ce que l’on a envie de faire parce que nous n’avons jamais laissé assez de place à cette petite voix. Nous nous sommes laissés portés par les émotions et par les conditionnements sociaux qui favorisent la raison.

Comment faire pour accéder à cette petite voix ? (et pourquoi c’est important de la suivre)

Si l’on ne suit pas cette petite voix, nous allons pouvoir l’ignorer un petit moment mais il va arriver un moment où le brouhaha ambiant va être de plus en plus fort plus le temps va passer. Au début la petite voix va se manifester de façon ténue lors de différentes occasions, comme par exemple lorsque vous allez vous mettre en couple avec quelqu’un et que vous aurez cette intuition tenace que ça ne va pas le faire. Mais on se persuade que ça va le faire en trouvant des points communs et des points positifs : on rigole bien ensemble, nous avons des valeurs en commun, nous aimons tout les deux les mêmes choses… Mais au fond notre petite voix est là pour nous donner des signes. Et on reporte on se disant :  » non mais pour le moment je n’ai pas besoin de l’écouter, je verrais bien… ». Le problème c’est que lorsque l’on n’écoute pas notre petite voix, ce petit inconfort va rester et va grandir, parce qu’elle est là pour nous délivrer un message. Cela ne veut pas dire qu’elle a toujours raison, il est possible qu’elle se trompe mais en tout cas elle nous alerte sur le fait qu’il y a un petit quelque chose qui mériterait d’être reconsidéré. Cela va nous guider, il va peut-être avoir cette discussion avec ce nouveau copain et il va falloir faire une mise au point.
L’inconfort provoqué par la petite voix va grandir à mesure qu’elle est ignorée. Au début c’était une petite intuition, et au fur et à mesure des mois on va dire :  » je ne le sens pas « , et le temps va passer et au bout d’un moment cela va être tellement présent que l’on va se retrouver face à un inconfort émotionnel tel que l’on va se sentir mal sans trop savoir pourquoi, en se disant :  » je ne comprends pas, j’ai tout ce qu’il faut pour être heureux dans ma vie mais je ne me sens pas bien « . Il est possible de faire taire la petite voix à tel point que l’on se retrouve avec des problématiques physiques où l’on peut se retrouver en dépression, en burn-out (dans le milieu du travail)… tout ça parce que l’on n’a pas écouté notre petite voix.
Le souci c’est que lorsque l’on ne l’écoute jamais, elle finira pas nous rattraper. L’objectif est de l’écouter. Je vous ai donné le cas de la relation amoureuse mais c’est aussi vrai dans le monde professionnel.

D’où vient cette petite voix ?

Cela vient du ventre, des tripes, c’est elle qui va nous dire ce que l’on est vraiment et celle qui va nous dire si on se sent bien ou pas. C’est elle m’avait fait signe au moment d’envoyer mon email dans l’exemple que je vous donnais plus tôt :  » peut-être que je ne devrais pas envoyer cet email « , parce qu’au fond la petite voix savait que cela ne suivait pas mes valeurs, que ce n’était pas bienveillant et que cela n’était pas la personne que j’avais envie d’être, elle savait que j’étais en train de suivre mon émotion et que je n’étais pas à ce moment là la meilleure personne que je suis à l’intérieur de moi. Dans ce cas là il n’y a pas mort d’hommes, mais très souvent, lorsque l’on se retrouve à prendre de multiples petites décisions sans écouter la petite voix :
On se retrouve à un moment donné à avoir une vie qui ne nous ressemble pas et on se demande comment on a pu en arriver là.
Pour moi c’est ça la crise de la quarantaine, je vous en avais déjà parlé dans une vidéo où je vous parlais du bilan que l’on fait à 30 ans, c’est une crise qui arrive à 30 ans quand on n’a pas eu d’enfants et à 40 ans quand on en a eu à mon sens, parce qu’en ayant des enfants vous vous doutez bien que notre attention leur est entièrement dédiée, ce qui fait que l’on a pas forcément pas eu le temps de l’écouter parce que l’on avait d’autres préoccupations à ce moment là. C’est le moment de notre vie où nous avons passé suffisamment de temps avec nous-mêmes pour que l’on ne puisse plus ignorer qui nous sommes. Nous ne pouvons plus trop ignorer la petite voix parce qu’elle commence vraiment à crier.

Comment faire pour écouter cette petite voix ?

La façon la plus simple de le faire c’est la méditation ou le flot de pensées. Pour moi le flot de pensées c’est la méditation pour les agités et les extravertis (je plaisante), c’est une autre façon de faire. Cela donne l’impression que la méditation est quelque chose d’inaccessible mais ce n’est pas du tout le cas. Il n’y a pas de mauvaise manière de méditer, il s’agit de faire le calme autour de soi et d’être attentif à ce qu’il se passe dans notre tête. Si nous sommes attentifs à ce qu’il se passe dans notre tête, nous allons aussi être attentif à ce qu’il se passe dans notre ventre et ce qui remonte à notre cerveau. Avec l’habitude, cela va nous permettre de voir et d’entendre cette petite voix. Avec l’entrainement, la méditation va nous permettre d’entendre dans un premier temps tout le brouhaha lié aux émotions, toute l’inquiétude de l’égo et c’est après cela que l’on va entendre la petite voix. En faisant des flots de pensées quotidiens, nous allons la distinguer dans nos écrits. La façon la plus simple de la trouver c’est de méditer, de faire des flots de pensées.
C’est vraiment tout le travail que je vous propose dans ce podcast, c’est de vous poser la question de qui vous êtes vraiment, sur ce qui est important pour vous et d’écouter ce qu’il se passe dans votre cerveau, d’écouter les pensées que vous avez et les émotions que vous avez. Vos émotions je vous le rappelle, elles sont là pour vous dire quelque chose, elles sont là pour vous dire qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Là où les émotions et la petite voix sont liées c’est que lorsque vous faites des actions en dehors de vos valeurs, vous allez le ressentir émotionnellement, mais souvent on ne l’écoute pas parce que l’on tente de le rationaliser. Vous allez le ressentir. L’objectif va être d’y être attentif.

Comment sait-on lorsque nous prenons une décision qui suivait la petite voix ?

On le sait parce qu’au moment où l’on suivi notre petite voix, nous sommes en paix, nous sommes en paix avec nous-même. C’est quelque chose que j’ai appris et intégré grâce à Oprah Winfrey que vous connaissez surement (si vous ne la connaissez pas je vous invite à vous renseigner sur elle parce que c’est une femme extraordinaire), elle dit ça régulièrement. J’avais vu une interview d’elle où elle disait :  » quand tu as pris la bonne décision, tu le sais parce que tu es en paix avec toi-même « .
Quand on prend une décision basée sur les émotions, on va se sentir soulagé parce qu’il y avait une urgence émotionnelle auquel on vient de répondre. Le moment où j’envoie mon email, je suis soulagée sur le moment parce que j’étais énervée et l’envoyer permet de soulager ma colère sur le moment. Mais suis-je en paix avec moi-même ? Eh bien non. Quelques secondes après, quelques minutes voire jours après, je me dis que je n’aime pas être la personne qui a envoyé cet email. Je ne suis pas en paix avec moi-même.
Il en va de même avec le cas du choix rationnel, on se demande si on va à l’université ou non, si nous allons ou non dans ce travail… on se dit qu’on va opter pour tel choix parce que c’est plus raisonnable, ou non je ne le fais pas c’est plus raisonnable. Au moment de prendre la décision on se sent mieux en effet, parce qu’on avait peur et que notre cerveau était en alerte rouge parce que l’on sortait de notre zone de confort. Mais ce soulagement n’est pas la paix intérieure, la décision est prise ce qui fait que l’on a plus à y penser et le lendemain on se dit :  » c’est dommage, j’aurais pu le faire, mais je ne l’ai pas fait « . Cette petite voix qui est encore là, le moment où l’on a assouvi la petite voix : nous sommes en paix avec nous-même.
Il y a des situations ou ce n’est peut-être pas l’idéal de suivre la petite voix parce qu’il ne faut pas se mettre dans un risque financier, se mettre en danger sur le moment selon vers quoi la petite voix va nous emmener. C’est important de ne pas l’ignorer, parce que de toute façon si je ne la suis pas, ce petit bruit de fond va devenir petit à petit un grésillement de plus en plus fort et deviendra un bruit assourdissant qui va finir par me rattraper et me secouer. Il n’y a pas de miracles, la seule façon de faire cela est d’être à l’écoute de soi-même et parfois nous n’en avons pas envie, parce que nous avons envie d’écouter notre ego parce que c’est beaucoup plus confortable et parce que l’on a envie de se cacher derrière le :  » oui mais ce travail est bien vu, non mais je n’ai pas fait toutes ces études pour rien, quand même cette personne est une bonne personne… » alors que peut-être que notre petite voix nous dit que cette situation ou cette personne est devenue toxique pour nous.
On le sent.
Je vais m’arrêter là pour ce podcast et vous dire simplement que je vous souhaite de passer un bon week-end, je vous invite à vous poser et à prêter attention à votre petite voix, qu’est-ce que vous dit votre ventre, qu’est-ce que vous dit vos tripes ? Faite un flot de pensées sur le sujet pour voir tout ce qu’il en ressort. Choisissez peut-être une décision que vous êtes en train de prendre sur le moment, mettez tout cela sur papier ou faites-le par le biais de la méditation. Le flot de pensées est une belle façon d’accéder à cette petite voix.
Je vous dis à vendredi prochain et retrouvez l’ensemble des ateliers que je propose en cliquant ici !

Épisodes/vidéos cités


Prochain atelier les 23 et 24 juin 2018 à Paris (15 places). « Manger pour se nourrir et non pas pour se fuir » (COMPLET)

Le programme tel qu’il était proposé lors de la sortie de cet épisode, n’est plus disponible. Il a été remplacé par un programme de coaching en ligne de groupe: Cliquez ici pour plus de détails.