Retranscription écrite du podcast :
Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach, je suis Esther Taillifet et dans ce 73ème épisode nous allons parler de planification et de liberté.
Cela peut vous sembler être deux mots qui ne vont absolument pas ensemble, en plus dans le titre du podcast je l’aurais mis avec un signe « = », si vous n’êtes pas familier avec ça et que vous n’êtes pas quelqu’un qui planifie naturellement, pour vous cela peut représenter deux mots complètement opposés et je ne peux pas vous blâmer parce que je vous comprends complètement. Je ne suis pas du tout de naturellement organisée, je ne suis pas née organisé, je ne sais pas s’il y a vraiment des personnes qui naissent organisées, mais je pense que l’on peut dire qu’il y a des personnes qui ont une propension à l’organisation et d’autres pas, et moi je fais partie de cette catégorie là. Et pourtant, au moment où je vous parle, cela fait 73 semaines de suite que nous avons un podcast tous les vendredis. Cela fait 6 ans que j’ai une chaine YouTube et j’ai quasiment publié à un rythme de deux fois par semaine des vidéos. Il y a quelques années, lorsque j’ai commencé ma chaine YouTube, dans ma tête, je ne voulais absolument pas faire de planification, parce que pour moi la planification signifiait un manque de liberté, un manque de possibilité d’être créative, un frein/un cadre qui me bloquait, et qui me paraissant complètement problématique, que je n’allais pas pouvoir me sentir bien, libre, à mon aise, et que j’allais au contraire me sentir complètement bridée, et avoir l’impression d’être dans l’obligation de faire des vidéos, et donc de le vivre comme une contrainte. Je pense que pour beaucoup d’entre vous, le fait de planifier, de prendre un agenda et d’y noter que tel jour vous allez faire telle chose, cela peut vous paraitre comme étant une contrainte.
J’ai envie de vous proposer que c’est plutôt le meilleur moyen de prendre possession de votre liberté, parce que quoi qu’il arrive vous avez 24h par jour, 7 jours dans votre semaine, 365 jours par/an. Nous avons tous la même quantité de temps et vos journées se remplissent. Que vous planifiez ou non, vos journées se remplissent. Il y a des choses qui se mettent dans votre emploi du temps au fur et à mesure, il y a des imprévus, des choses que vous faites, du temps que vous passez à telle ou telle activité, des tâches qui sont peut-être de la procrastination.
Le fait de ne pas avoir planifié les choses qui sont importantes pour vous, les choses que vous avez vraiment envie de faire, cela ne va pas vous rendre plus libre de ne pas les planifier, c’est même tout le contraire. Cela se rapproche de l’analogie du bocal dans lequel vous mettrez des grosses billes et du sable, c’est un peu comme si vous vous disiez que vous ne vouliez pas mettre les grosses billes dans le bocal parce qu’après il n’y aura plus de place, bien que le sable s’accumule quoi qu’il arrive. Cette une analogie visuelle alors l’expliquer en podcast, ce n’est pas très pratique.
L’idée est plutôt de se dire : si je mets mes grosses billes dans mon bocal, je pourrais quand même caler tout le sable que j’ai à mettre et j’aurais de la place pour ma liberté autrement dit. Le sable va être toutes les activités créatives, je trouverais de la place si je planifie les choses qui sont importantes pour moi. Lorsque l’on a peur de la contrainte, c’est quelque chose dont on est pas du tout convaincus. Je vous propose de regarder avec objectivité, à quel point vous êtes libre dans votre emploi du temps, sans planifier et de constater qu’il y a de très bonnes chances que si vous ne remplissez pas vous-même votre emploi du temps, qu’il le soit par le monde extérieur. Il est remplit par les personnes qui vous demandent à la dernière minute de faire telle ou telle chose, par les imprévus (parce que les autres ont planifiés des choses à la dernière minute et du coup c’est vous qui le faite), il est remplit par des choses que n’avez pas forcément envie de faire mais que vous mettez là parce qu’il y a du temps de libre, comme regarder des choses sur YouTube que vous n’auriez pas regardé si vous aviez du planifier, ou faire des tâches secondaires que vous n’avez pas vraiment envie de faire.
Malheureusement, à la fin de la semaine, il y a des choses que vous aimeriez bien faire, qui sont des choses qui sont importantes à vos yeux et que vous n’avez pas faite parce que vous n’avez pas voulu vous les imposer. Est-ce que vous voyez comment, le fait de s’imposer les choses qui sont vraiment importantes pour nous (s’imposer dans le sens les mettre et les acter dans un planning) vous donne la liberté, car cela vous permet de décider vous même ce que vous faites de votre emploi du temps, cela vous permet d’être libre de cela et de ne pas vous laisser envahir par l’emploi du temps des autres et part l’environnement extérieur. Cela vous garantit que les choses qui sont importantes pour vous, seront les choses que vous ferez en priorité, parce que cela représente vos « grosses billes », elles seront faites puisqu’elles sont posées dans ce grand bol.
Un autre aspect qui fait que la planification vous rend plus libre, c’est sur la charge mentale. A partir du moment où les tâches sont actées et mises dans un agenda et vous savez quelles seront faites, quelles sont prévues et que vous n’avez plus à y penser, eh bien vous n’avez littéralement plus à y penser. Elles ne sont plus dans la mémoire de votre cerveau en train de se proposer à vous à tout moment. Je vais vous donner un exemple, vous partez le matin de chez vous, et vous allez aux toilettes une dernière fois avant de partir et vous vous rendez compte qu’il manque du papier toilette, ce qui vous fait penser qu’il n’y a plus de liquide vaisselle non plus, et qu’il faudra aussi en racheter. Vous vous dites : « il faudra que je pense à acheter du papier toilette et du liquide vaisselle ». Si vous ne prévoyez pas vraiment de le faire, si vous ne l’avez pas planifier, par exemple en vous disant : « je le fais ce soir en rentrant », vous allez y penser toute la journée, je dirais même plus : si vous ne l’écrivez pas sur papier, pour votre cerveau ce n’est pas une information qui est traitée, elle est encore dans votre cerveau, alors que vous serez en réunion, votre cerveau risque de vous proposer cette pensée récurrence du : « n’oublie pas le papier toilette », alors que si vous l’avez écrit sur un bout de papier, et que vous l’avez planifier dans votre agenda, cela vous fait du temps de cerveau disponible, et ce temps de cerveau disponible c’est de la liberté.
Planifier les tâches importantes que vous devez faire, va vous permettre d’avoir du temps de cerveau disponible et du temps de créativité. Cela ne va pas dans le sens inverse de la créativité. J’avais cette croyance et je pense qu’une partie d’entre vous a cette croyance : planifier enlèverait une partie de ma spontanéité de ma créativité dans mon quotidien, alors qu’en réalité c’est tout l’inverse, cela vous décharge mentalement sur des choses qui sont finalement que vous prévoyez de faire quoi qu’il arrive, de toute façon il n’y a pas de négociation possible, à un moment donné il faudra l’acheter ce papier toilette, donc il n’y a pas besoin de négocier dans sa tête et de s’octroyer une charge mentale incroyable pour une chose pareille, autant le planifier : « ce soir je vais faire les courses, j’en profite pour prendre les 3 autres choses qui sont dans ma mémoire cache de mon cerveau, j’ai résolu ce problème et je n’ai plus ça dans ma mémoire latente ». Nous avons besoin de ce temps de cerveau disponible pour pouvoir être créative, pour pouvoir être présent avec soi-même, pour pouvoir être là et pour pouvoir être dans la spontanéité.
J’aimerais vous proposer de voir les choses d’une manière différente et de laisser partir cette partie de votre ego qui a l’habitude de tout faire à la dernière minute, d’être très spontané, d’aimer les plans de dernière minute, de ne pas être à cheval sur les horaires. Il y a peut-être une part de votre ego qui est associé à cela et qui associe tout ces traits de caractères au fait d’être quelqu’un de cool, quelque chose que vous associé à un tempérament positif. Je vous propose de vous demander pourquoi vous tenez autant à garder cela dans votre identité, qu’est ce que cela vous apporte de continuer à penser qu’il est impossible pour vous de vous organiser parce que vous n’êtes pas comme cela et que ce n’est pas possible pour vous de planifier les choses et que cela ne va pas vous rendre plus libre parce que vous êtes quelqu’un de créatif. Qu’est-ce que cela vous apporte de croire cela ? Qu’est-ce que cela vous apporte de choisir cela, cela vous apporte quelque chose, vous ne croyez pas cela sans raisons, il y a forcément une raison, il y a votre ego qui vous protège (si vous ne l’avez pas encore écouté je vous renvoie au podcast sur le sujet). L’ego est là pour vous protéger, de quoi cela vous protège-t-il ? Que cela vous permet-il de faire ? De continuer à croire et à penser que ce n’est pas possible pour vous de planifier, que cela va vous restreindre, que cela va vous contraindre, alors que la réalité c’est exactement l’inverse.
La raison pour laquelle nous restons accrochés à cette croyance sur la planification qui est contraignante par exemple, car ce sont des pensées qui sont liées à notre identité, ce sont des pensées auxquelles on s’accroche parce qu’elles sont identitaires. Finalement, la différence entre la personne que j’étais il y a quelques temps, qui publiait des vidéos de façon assez aléatoires et la personne que je suis aujourd’hui, qui a des jours de publication et des heures de publication (même si je ne l’ai pas officiellement communiqué), qui met en ligne régulièrement, quelle est la différence entre ces deux versions de moi-même ? La personne en elle-même reste la même, je reste la même personne, nous ne sommes pas définit par nos actes mais par qui nous sommes intrinsèquement, en tant qu’individus.
Qu’est-ce qui a changé entre les deux ?
Ce qui a changé entre les deux, c’est toute l’histoire que je me raconte, c’est tout le brouhaha mental et tout le bla-bla qu’il y a autour de la situation, tout ce que l’on se raconte. « Si je planifie à l’avance je n’aurais plus envie de le publier, cela ne me parlera plus, cela va me rajouter du travail alors que j’ai déjà du mal à tout ce que j’ai à faire maintenant, si en plus je dois le faire en avance, j’aurais encore plus de charge de travail alors que c’est déjà limite », c’est ce bullshit mental qui nous limite en réalité et qui nous empêche de planifier. Ce n’est pas qui nous sommes vraiment ou notre identité qui nous empêchent de planifier, c’est tout ce que l’on se raconte qui sont des arguments que notre cerveau nous trouve, pour nous maintenir dans cette situation un peu stable où nous ne sommes pas en train de sortir de notre zone de confort, dans cette situation, nous sommes là à continuer ce que l’on a toujours fait, c’est à dire faire les choses en dernière minute.
Pourquoi faisons-nous les choses en dernière minute ?
Nous ne le faisons pas parce que l’une des raisons pour lesquelles on ne le planifie pas, c’est qu’une fois que c’est noté, on sait que l’on va devoir le faire. Et on se dit que l’on va devoir le faire, nous avons pris une sorte d’engagement envers nous-même, cela voudra dire à un moment donné, que le jour venu, il va falloir le faire. Cela veut dire que l’on s’impose de faire quelque chose d’inconfortable par rapport à la chose confortable que l’on aurait pu faire sinon, qui est de ne rien faire et de rester dans cette situation.
La raison pour laquelle nous avons tout ce brouahah, notre brouhaha essaie de nous maintenir dans notre confort et dans notre habitude de faire ce que l’on a toujours fait, c’est à dire, continuer de faire les choses « à l’arrache », indépendamment du fait si c’est effectivement notre mode de fonctionnement et si c’est effectivement fonctionnel ou non. La réalité c’est que tout faire au dernier moment et ne pas planifier, non seulement cela nous empêche de faire les choses qui sont vraiment importantes pour nous, pour toutes les raisons évoquées au début, c’est à dire que notre emploi du temps se remplit malgré tout, mais en plus de cela c’est la source d’un stress énorme. Lorsque l’on est obligés de faire les choses à la dernière minute juste avant une deadline, juste avant une date butoir, de devoir par exemple rendre un compte rendu au travail ou à l’école, on se retrouve à être très stressé et à devoir tout faire d’un coup, dans une fatigue incroyable. Je me souviens très bien durant mes études, avoir enchainé les nuits blanches, je ne voyais pas d’autres solutions, parce que je n’étais pas capable de programmer avant, qui me disait que ce n’était pas possible de programmer avant, que cela ne m’était pas accessible. Et que de toute façon je n’allais pas respecter mon planning alors cela ne servait à rien. Là vous allez peut-être me dire : « non mais Esther, moi j’ai déjà essayé de planifier et de me dire je révise/ je fais le ménage, le moment venu je ne le respecte pas, ce qui me fait plus culpabiliser qu’autre chose en réalité, ou alors je me dis que je vais faire telle chose, et cela va me prendre tant de temps et en faite cela me prend beaucoup plus de temps, j’abandonne l’idée parce que je vois bien que cela ne me convient pas ».
En réalité, ce qu’il faut voir, cela nous arrive dans tout les domaines, mais ce n’est pas parce qu’on teste quelque chose et que cela ne marche pas du premier coup, que la chose en question ne nous convient pas. En l’occurrence, si vous n’avez jamais planifié de votre vie, il y a de très bonnes chances pour que la première fois où vous le faites, votre planification ne sera pas forcément « bonne », dans le sens où peut-être que vous allez prévoir un temps pour faire quelque chose alors qu’en réalité vous avez besoin de plus ou moins de temps mais dans la mesure où vous ne l’avez jamais fait avant, alors vous ne l’avez jamais observé donc vous ne savez pas combien de temps il faut exactement. Peut-être que vous allez vous prévoir trop de choses dans votre journée et que vous n’allez pas anticiper qu’il vous faut des moments de vide, que vous allez prévoir, et de vrais moments de détente, pas des moments de tampons émotionnels. Peut-être qu’au début vous ferez cette erreur de ne pas prévoir suffisamment de temps, peut-être que vous ferez l’erreur sur différents domaines, comme pour la lecture par exemple, vous rendre compte que pour vous cela marche davantage le matin, à l’inverse vous préférez les tâches créatives le matin et les tâches répétitives l’après-midi ou inversement.
Tout cela, vous ne pouvez pas le savoir si vous faites tout au fil de l’eau. Cela va vous demander, si vous décidez d’explorer cette piste là, est-ce que je ne vais pas me sentir moins stressé-e et plus libre et réaliser une vie qui me ressemble davantage en planifiant, en le faisant, et il va falloir accepter qu’au début ce ne soit pas parfait, et qu’au début il va avoir des essais/erreurs, des moments de tâtonnement où vous allez tester des choses, cela ne va pas marcher tout de suite, ce ne sera pas forcément la bonne planification pour vous, peut-être qu’il vous faudra plus ou moins de temps, et si il vous faut plus de temps, ce n’est pas vous qui ne savez pas planifier, ou vous qui êtes lent, c’est que vous n’avez jamais évalués la durée qu’il vous faut pour faire telle ou telle chose. Remarquez que ce qui est bloquant, ce n’est pas votre mode de fonctionnement, ce n’est pas ce qui est réellement possible ou non mais c’est toute la résistance mentale que l’on a face au fait de planifier. Si vous regardez les personnes qui vont plus naturellement être enclines à planifier, elles ont remarqué que planifier lève le niveau de stress.
A l’inverse si elles ont beaucoup de choses en tête et qu’elles ne savent pas quand cela va être fait, cela va leur créer un fort niveau de stress, naturellement elles seront allées vers cette astuce de la planification, parce que cela est très efficace pour faire baisser le niveau de stress. Le problème des personnes qui n’ont pas naturellement envie de planifier, c’est que le niveau de stress n’est pas élevé, on s’accoutume du niveau de stress en réalité, de toute faire en dernière minute et on se dit : « ça va le faire, je gère, je vais faire deux nuits blanches mais ça va le faire ». Remarquez comment qu’à partir du moment où vous allez commencer à planifier, vous allez pouvoir vous affranchir de cela, peut-être que vous n’avez pas envie parce que votre ego vous dit « c’est mon identité », ce que je vous recommande c’est de vraiment l’envisager. Regardez ce que vous pouvez faire et comment vous pouvez le planifier.
Si vous voulez le faire en pratique, si vous ne l’avez jamais fait auparavant, c’est simple, il suffit de noter sur une feuille une liste de toutes les tâches que vous avez à faire dans votre semaine, toutes les tâches récurrentes dans un premier temps, à vous de décider ç quel niveau de détail vous voulez aller, aller jusqu’à la douche, manger… qu’est-ce que vous choisissez de mettre ou non. Vous faites votre liste, en fonction du niveau de détail que vous voulez, et ensuite c’est simple, vous prenez ce qu’il y a dans votre liste et vous la mettez dans un calendrier, c’est aussi simple que ça. Si vous avez un gros projet, vous le découper en petites tâches. Par exemple vous avez le projet d’acheter une maison, ce projet d’acheter une maison : vous vous renseignez sur le marché, rechercher des banques, visiter appartements/maisons… il y a tout un tas de tâches que vous pouvez découper en petites sous-tâches pour ensuite les intégrer dans votre calendrier pour les planifier sur des plages horaires de votre choix. Si vous vous dites : « non mais c’est compliqué, je ne sais pas par quel bout prendre les choses, comment je vais faire en pratique pour faire telle ou telle chose », c’est simple, si votre cerveau vous dit : « non mais comment je vais faire pour planifier en pratique, je ne sais pas le faire », en réalité, ce n’est pas compliqué, il suffit de lister les tâches que vous avez à faire et de les mettre dans un calendrier, et une fois l’instant venu, réalisez la tâche », il y a un podcast prévu sur cette thématique là de comment parvenir à s’y mettre, de réussir à faire les choses au moment voulu. Lorsque l’on a pas l’habitude de planifier, nous attendons d’avoir envie pour faire les choses, et généralement cette envie ne vient jamais, c’est pour cette raison que l’on fait tout à la dernière minute.
Si vous ne l’avez jamais fait eh bien faites-le, réajustez en fonction de votre avancée, voyez ce qui n’a pas fonctionné, ce qui a été mal planifié au mauvais moment, ce pour quoi vous avez prévu trop ou pas assez de temps et replacez-le à un autre moment et réajustez tout cela. Pour pouvoir y parvenir, il faut que vous ayez un planning, certes, mais il faut aussi que vous ayez les clés pour le suivre, parce que sinon vous allez décider à tort que le planning ne fonctionne pas, ou qu’il ne convient pas alors que c’est juste que vous n’avez pas forcément les clés nécessaires pour vous mettre aux tâches le moment venu, nous allons en parler dans un prochain podcast.
Je m’arrête là pour aujourd’hui pour cet épisode, j’espère qu’il vous aura été utile, je vous encourage à le réécouter si c’est un sujet qui vous concerne, parce que je pense qu’il y avait beaucoup d’infos, il est assez dense. Je vous souhaite une excellente semaine, un excellent week-end et je vous dis à vendredi prochain !
Ressources / Sources / Aller plus loin
Bon… je te suis depuis un moment mais je n’avais jamais eu la bonne idée d’écouter les podcasts. Là tu viens de raconter l’histoire de ma vie : j’ai un planner mais je ne m’en sers pas comme je devrais, je note des trucs que je fais pas, je suis souvent au dernier moment / à l’arrache, je n’aime pas prendre des décisions… (et mon copain est tout le contraire). Je pense que chez moi c’est dû à un manque de confiance, peur de ne pas réussir etc..(ex : ça fait plusieurs mois que je veux me mettre auto-entrepreneur dans l’illustration en parallele de mon boulot de prof mais j’ai pas envoyé la demande d’autorisation, j’ai pas démarché les imprimeurs… et je me trouve des excuses du style « je fais 5h 19h, j’ai pas le temps, alors que si j’observe bien si, j’en ai). Bref merci, je vais réécouter ce podcasts et écouter les autres pour me booster.
😉 Bienvenue dans le podcast !