Retranscription écrite du podcast :

Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach, je suis Esther Taillifet et dans ce 77ème épisode nous allons parler d’éthique de travail.
Je ne sais pas si vous serez tous familier avec ce terme qui est celui de l’éthique de travail mais si vous l’êtes c’est probablement dans le monde de l’entreprise, lorsque l’on vous a parlé de l’éthique et des valeurs de l’entreprise, vous en avez peut-être déjà entendu parlé si vous gravitez dans le milieu du développement personnel/entreprenariat, vous avez peut-être déjà entendu parlé de ce sujet. Ce terme est souvent associé dans l’inconscient collectif au fait de travailler dur et impliqué, voir de se pousser à bout dans son travail. Je pense que c’est une erreur de penser ainsi, ce que dit ce terme c’est simplement d’avoir un ensemble de valeur, une façon d’aborder les choses et un choix de pensées qui est complètement arbitraire, biaisée et qui est empreinte de notre personnalité, du milieu et des valeurs de la société dans lequel nous avons grandi, mais aussi empreint également de nos expériences personnelles. C’est pour cela qu’une éthique nous est propre, l’éthique et la morale sont des concepts subjectifs, ce n’est pas du tout objectif.
Je vais vous parler de ça aujourd’hui parce que nous sommes tous passé par cette étape à un moment donné, je parle plutôt au passé parce que dans le travail que je fais actuellement ce n’est plus le cas, nous sommes nombreux à ne pas se sentir bien dans le travail dans lequel on se trouve, soit parce que l’on est en train de glisser vers le burn-out soit parce que nous sommes, à l’inverse, en train d’aller vers un bore-out. Nous sommes, quoi qu’il en soit, dans une situation où l’on se sent pas biens, nous sommes confrontés à des journées où nous sommes à la fois fatigués physiquement, émotionnellement, où le se sent complètement vide, nous avons l’impression de ne pas avoir fait grand chose de notre journée, de ne pas avoir été efficace mais en même temps d’être fatigués et de ne pas pouvoir faire plus, nous avons souvent ce besoin que notre environnement professionnel ou notre supérieur nous dise si ce que l’on fait et bien ou non, si l’on fait assez, si c’est suffisant, si il faudrait faire plus, si on fait trop, et nous n’avons pas ce retour, on se sent mal par rapport à notre travail. J’aimerais proposer des éléments et des pistes de recherches sur cette réflexion là si vous êtes dans cette situation précise, si vous avez ce sentiment de vide lorsque vous rentrez du travail, et que vous ne savez pas par quel bout le prendre parce qu’à priori, vos chefs sont plutôt contents de vous, les objectifs de l’entreprise et de l’équipe sont remplis, vos journées se passent plutôt bien dans les grandes lignes, vous êtes potentiellement en CDI, ou un CDD qui se passe bien, vous n’avez pas de raison de vous sentir mal et pour autant vous avez ce sentiment de vide en rentrant du travail le soir.
Ce que j’ai envie de proposer aujourd’hui ce sont des solutions à la problématique que je vous ai proposé en début d’épisode concernant cette situation, j’ai choisi l’éthique au travail parce que c’est une situation que j’ai connu et qui, je pense, est commune à beaucoup de personnes qui potentiellement écoute ce podcast, je sais qu’il y a un biais sur ce podcast, qui ont potentiellement fait de longues étudies : licence, master… voir un doctorat, et qui se retrouve au final dans une travail qui est vide de sens pour eux, ou un travail qui ne les font pas suffisamment grandir, évoluer, sortir de leur zone de confort et ils sont dans ce cocon très confortable. Cela me rappelle le moment où j’ai cherché mon premier emploi, je n’étais pas du tout sure de moi à ce moment là, j’essayais de rédiger un CV mais comme je sortais de doctorat, je ne savais rien faire et que l’entreprise ne pourrait rien tirer de mon CV, je discutais avec un ami qui lui était déjà dans le monde de l’entreprise depuis un moment, il a eu un parcours différent du mien dans le sens où il a fait un diplôme d’ingénieur, il est est très sur de lui et je lui avait demandé de l’aide sur la rédaction de mon CV pour me préparer aux entretiens d’embauche et il m’avait dit une phrase qui m’avait vraiment frappé à l’époque et que je garde encore en tête aujourd’hui :

Tu sais Esther, l’exigence du milieu de l’emploi n’est pas du tout celle du milieu universitaire. Tes journées au travail vont se dérouler à peu près de cette manière : tu arrives au bureau vers 9h/10h tranquillement, et tu prends un café, ensuite tu te poses à ton bureau et tu lis tes mails sans te presser, tu réponds à quelques uns d’entres eux, ensuite c’est déjà l’heure de la pause café, tu vas discuter avec tes collègues de quelques projets, de façon informelle autour d’une table et ensuite arrive l’heure de la réunion, là tu assistes à la réunion pendant une heure, tu écoutes vaguement, tu sors de la réunion et tu as à peine le temps de te remettre à ton bureau, à nettoyer ta tasse de café que c’est déjà l’heure de la pause déjeuner, il est midi et tu n’as toujours pas aligné une seule minute de travail constructive, une seule minute de travail où tu t’es concentré. Ensuite tu reviens l’après-midi de ta pause déjeuner tu vas prendre un café avec tes collègues, le temps de te remettre en route, tu as peut-être une ou deux heures avant d’être vraiment efficace, tu es à moitié sur Facebook, à moitié sur les tâches que tu as à faire et à moitié sur les emails de réponse que tu as eu à la suite de ceux envoyés ce matin, et ensuite c’est de nouveau l’heure de la pause café. Eventuellement, pendant les deux dernières heures de la journée, tu vas peut-être enfin faire du travail efficace pendant 2 heures pendant lesquelles tu vas pouvoir être concentré-e.

Je me souviens que lorsqu’il m’a dit ça, je ne l’ai pas cru parce que je n’avais encore jamais travaillé en entreprise et je ne l’ai pas cru, je me suis dit que j’étais capable de bien plus, à la façon on nous demande tellement de travail, parfois je me disais s’il savait réellement le temps dont on disposait pour travailler, est-ce que c’est possible que l’on nous demande autant de travail en terme de quantité ? Socialement, j’avais entendu plutôt l’inverse qui est que les entreprises nous poussent à bout, qu’elles cherchaient toujours à obtenir le plus de nous-même, et qu’au contraire on allait me demander beaucoup et qu’on allait avoir beaucoup d’exigences et que je ne serais pas capable de les mettre en place et de les accomplir.
Lorsque je me suis retrouvée dans le milieu de l’entreprise, ce que je dis là est le fruit de mon expérience, avec mon propre biais, avec le type d’études que j’ai fait, avec des métiers qui se font derrière des ordinateurs. J’ai aussi été professeure en fac ou en collège/lycée, et ce sont deux choses tout à fait différentes, transposez ce que je vous dis à votre propre réalité professionnelle. J’ai été surprise de voir à quel point c’était vrai, les exigences dans le milieu du travail ne sont pas si élevés en réalité, je me suis assez vite habituée à ce type d’exigences assez basses, je me suis habituée à ce que l’on attende pas trop de moi et à ne pas trop me pousser et au final à la fin de la journée je me sentais vide et je ne comprenais pas pourquoi. Je me souviens de l’été de ma première année de travail, je suis restée dans ce CDI pendant un an, j’ai travaillé dans un label musical en tant que développeuse, je n’avais pas de vacances ce qui fait que j’ai travaillé durant tout le mois d’août. Dans le cadre de mon travail, je développais des parties de l’Intranet, autrement dit, si nous n’avions pas d’employés qui travaillaient sur l’Intranet eh bien il n’y avait pas tellement de bugs que l’on nous rapportait, de choses sur lesquelles je pouvais travailler, comme je vous le rappelle : mon travail consistait d’aider les utilisateurs de l’Intranet de l’entreprise, comme il y avait moins de monde dans l’entreprise, il y avait donc moins de travail.

Mon expérience du bore-out

Je me souviens de journées en août où il n’y avait pas grand chose à faire à vrai dire, nous étions bien en train de « nettoyer les codes », de traiter des tâches qui n’avaient jamais été traitées par le passé, mais globalement, l’ambiance était assez calme. Je ne me sentais pas bien et pourtant on était satisfait de mon travail, et j’ai repensé à mon ami et je me souviens m’être dit : « je sais que mon chef est satisfait et que je suis dans un travail normal, je sais que c’est normal qu’il y ait moins de travail au moins d’août, je devrais m’en satisfaire et m’en contenter, sauf qu’en pratique, je ne suis pas OK à me dire que je passe mes journées ici, les fesses sur cette chaise à regarder le plafond, à faire presque semblant de travailler alors que j’ai tellement de projets et l’envie de faire tellement de choses dans ma vie. J’ai toujours eu beaucoup de projets en tête, je pense que je suis comme cela depuis petite, à 10 ans j’avais déjà des dizaines de projets en parallèle : artistiques etc… »
Je me suis vraiment dit que je n’étais pas OK avec ça, même si tout le monde semblait satisfait de moi et de mon travail, je ne suis pas OK avec le fait de ne pas me demander plus à moi-même.
Je ne suis pas OK avec le fait de regarder les heures passées au travail.
J’ai trop de choses en tête qui sont importantes et que j’ai envie de faire dans ma vie. Dans cette situation là je me suis retrouvée face à une prise de conscience, je pense que pour la plupart d’entre nous, nous n’avons pas conscience de cela, les règles et les valeurs de l’entreprise, ce n’est pas nous qui les décidons, elles nous sont inculquées et qu’elles sont communes au reste du groupe, cela devient notre réalité. Ce dont je venais de prendre conscience : il s’agissait de mon éthique de travail. Le rapport que j’ai envie d’avoir avec le travail que je fais. Ce n’est pas dans mes valeurs et dans mon éthique que d’être là et de ne pas être au maximum que je puisse donner, que de perdre mon temps, j’avais juste envie de dire à tous mes collègues : « non mais on peut juste tous arrêter de faire semblant de travailler, s’en aller et partir à la plage, il n’y a visiblement pas de travail, on vient ici deux heures et ensuite on s’en va, nous ne sommes pas payés à être juste présents », ce qui n’était pas du tout ma vision de l’éthique de travail parce qu’en réalité nous étions payés à être présents, mon éthique n’était pas compatible avec les valeurs de l’entreprise dans laquelle j’étais, les valeurs de l’entreprise qui sont communes à toutes les entreprises qui font que même si il n’y a pas beaucoup de travail il faut rester malgré tout, on essaie de venir sur les anciennes tâches, de perfectionner certaines choses, mais on reste là, on ne part pas en vacances parce que cela ne fait pas parti de l’ordre organisationnel, il y a aussi une certaine continuité qui doit être gardées… Ce sont des valeurs avec lesquelles je n’étais personnellement pas alignée.
Le fait que je ne me sentais pas bien dans ce travail était lié à ce problème, lié au fait que je n’étais pas alignée avec mes valeurs. Cela peut être très important pour vous de vous poser la question : « Comment ai-je envie de me sentir au travail ? Quelle relation-je envie d’avoir avec le travail que je fournis ». L’éthique c’est ce que je décide comme étant bien ou mal, ce que je décide comme étant bon ou mauvais, qu’est ce que je considère comme étant nécessaire, comme étant un minimum. Cela va être très important de se rendre compte que tout cela est en réalité très personnel et que cela va nous permettre de réaliser qu’autour de nous quelqu’un ne fait pas les choses comme nous, où n’a pas la même exigence sur son travail, ce n’est pas qu’il travaille mal, c’est qu’il n’a pas forcément la même éthique que nous.
Cela va nous permettre de comprendre pourquoi on se sent vide le soir. Vous le savez peut-être mais le fait de ressentir certaines émotions comme l’injustice, le fait de se sentir en colère à la fin de sa journée, les émotions sont des signaux, elles sont là pour nous dire quelque chose, cela signifie qu’il y a un besoin qui n’est pas comblé dans notre journée. Peut-être que ce besoin est celui de l’épanouissement de soi, peut-être le besoin d’être aligné avec nos valeurs, cela vaut la peine de se poser la question : « comment je me sens ? Quelles sont les pensées qui créent ces émotions là ? », si je me sens vide, lésé et en en colère, c’est que je pense des choses qui sont empreintes d’un système de pensées et de valeurs qui m’est propre. Il est certain que si je me dis au cours de ma journée : « cela ne sert à rien ce que je fais, je ne suis d’aucune utilité, je préférerais être ailleurs, je m’en fiche je n’ai pas envie d’effectuer cette tâche qui n’est pas de ma responsabilité, évidemment que ce sont des pensées qui vont avoir des répercussions sur la façon dont je me sens et sur mes émotions, évidemment cela ne va pas m’aider à me sentir motivé/bien au travail/efficace. La question à se poser est la suivante : « quelles sont les choses importantes pour moi au travail ? Est-ce que dans cette situation où j’ai l’impression que je me sens vide en fin de journée et que pour autant je suis fatigué et je ne peux pas faire plus, que je me sens vide émotionnellement, ne suis-je pas en train de passer ma journée à me battre contre du brouhaha mental et avec une sorte de dissonance cognitive ou d’un côté je me dis :  » je sais que je ne suis pas efficace et que je ne fais pas assez, je sais que je pourrais faire mieux et que je ne suis pas au maximum de mes capacités, mais dans le même temps on m’a dit que c’était bien ce que je faisais, personne ne me fait de reproches quant à mon travail », demandez vous si vous êtes au maximum de ce que vous faites ? Est-ce que vous avez envie de travailler de la manière dont vous avez envie, et indépendamment de ce que les autres pourraient penser parce que cela ne regarde que moi et mon éthique de travail.
Ensuite, la problématique auquel nous faisons face lorsque l’on se rend compte de cela, notamment la façon dont j’aborde le travail, si je suis aligné avec les valeurs de mon entreprise, souvent on se rend compte qu’en fait on peut choisir d’être plus efficace, et je n’ai pas envie de procrastiner toute ma journée ou de faire semblant de faire des mails… cela ne me fait pas me sentir bien parce que les pensées que j’ai à propos de cela c’est que ce que je fais ne sert à rien et que je pourrais faire mieux, je n’ai pas envie de penser cela, je peux changer mon système de pensées et choisir d’agir autrement et d’être très efficace dans mon travail. Je peux peut-être décider de me consacrer à d’autres projets, je peux choisir d’adopter une autre vision dans mon travail et d’aborder les choses différemment, peut-être que si je suis tout à fait honnête envers moi-même et envers mon éthique de travail, je vais m’apercevoir que finalement il ne faut pas que je reste dans cette entreprise à long terme mais je peux déjà dès aujourd’hui décider de me sentir mieux en abordant ce travail d’une manière différente et en se rendant compte que ce sont les pensées que j’ai à longueur de journée qui font que je me sens mal et pas forcément le travail en lui-même ou l’éthique de l’entreprise en elle-même et l’esprit que j’adopte par rapport à tout cela.
Je pense qu’il est important d’être au clair avec tout cela, de se dire : « est-ce que je me pousse vraiment à faire ce que j’ai envie de faire ? Est-ce que je suis dans l’auto-complaisance et je me satisfais de peu alors que cela ne me convient pas et ne me rend pas heureux. Ou au contraire suis-je en train d’être au maximum de mes capacités, je suis en train d’être à l’endroit où je peux potentiellement être le ou la meilleure ? Je suis en train de grandir et de faire des choses qui ont du sens pour moi, est-ce que je suis dans cette dynamique là ? ».
Avant de finir cet épisode j’aimerais vous mettre en garde sur quelque chose qui es lié à cela. Très souvent, lorsque l’on se rend compte que l’on n’est pas à notre maximum et que l’on est nous-même dans une spirale un peu molle et que l’on peut en sortir uniquement que l’on peut choisir de décider si je suis satisfait ou non du travail que je fais et je peux moi-même décider d’en faire plus ou moins ou différemment, nous allons vite nous rendre compte que nous sommes beaucoup plus efficaces que ce que l’on pense. On peut faire énormément de travail si nous avons un esprit clair et si nous décidons consciemment de faire les choses efficacement et que l’on sait dans quelle direction aller parce que notre éthique est clair, nos actions le sont aussi.
Le risque est de se dire : « non mais du coup cela ne dépend que de moi, je peux en faire toujours plus », le risque est de ne pas écouter son éthique jusqu’au bout et d’aller dans ce stéréotype que l’on se retrouve juste à se pousser, à travailler encore plus et à être dans l’acharnement et dans le fait de se pousser et non dans l’écoute, parce que ce que l’on souhaite c’est s’écouter et écouter quelles sont nos valeurs qu’est-ce que l’on se souhaite, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de personnes autour de nous qui se souhaite un burn-out, cela va être très important d’aller regarder ce que l’on se souhaite dans le travail, comment nous souhaitons mettre des actions pour aller dans cette direction là et ensuite se donner les moyens de le faire. Ce n’est pas parce qu’on se rend compte que l’on ne fait pas assez et c’est pour cela que l’on se sent vide que la réponse va être de travailler énormément, la réponse que vous allez faire c’est que vous êtes déjà épuisés émotionnellement et que vous ne voulez pas aller vers un burn-out, ce que je suis en train de vous dire c’est que pour sortir du vide que vous ressentez, il va s’agir de se demander en quoi vous vous maltraitez, c’est une sorte de maltraitante que de se laisser être la personne que l’on est vraiment, et d’être dans l’inaction, c’est un peu comme s’abandonner dans un coin et se dire que ce n’est pas grave si l’on ne fait pas assez.
Je vais m’arrêter là pour cet épisode, c’est un sujet qui me tient tout particulièrement à cœur et cela me frustre beaucoup lorsque j’y pense parce que je me sens impuissante, de me dire qu’il y a beaucoup de personnes qui se sentent vides dans leur travail alors qu’elles ne voient pas qu’elles pourraient faire beaucoup plus, alors qu’elles ne voient pas qu’elles pourraient faire beaucoup plus et que cela peut permettraient de se sentir beaucoup mieux et j’espère que cela vous aura permis d’ouvrir les yeux sur certaines choses et que lorsque l’on est concerné par la situation, il est quasiment impossible de s’en rendre compte parce que nous sommes « dedans » et qu’il y a cette pression sociale énorme qui nous dit qu’il n’y a pas besoin de remettre en question ces choses là et que ce n’est pas notre rôle de le faire, mais que cette tâche en incombe à nos supérieurs de décider de la quantité de travail ou de la façon dont on doit effectuer nos tâches, si vous avez cette dissonance cognitive : demandez-vous où en êtes vous vis-à-vis de votre éthique de travail, et qu’est-ce que vous vous souhaitez, qu’est-ce que vous voulez faire et ce vers quoi vous voulez aller, je ne suis pas en train de vous dire de vous repousser dans vos retranchements jusqu’à épuisement, je suis en train de vous dire de vous pousser vous-même parce que vous le méritez et que cela va vous permettre de vous sentir bien et de vous faire grandir et de vous emmener dans le flow si vous avez envie de réécouter le podcast sur le sujet, cela va vous permettre d’être la personne que vous méritez d’être.
Je vous souhaite un excellent week-end, je vous embrasse et je vous dis à vendredi prochain !