Retranscription écrite du podcast :

Bonjour à tous et bienvenue dans Se Sentir Bien, le podcast qui est là pour vous aider à devenir votre propre coach, je suis Esther Taillifet et dans ce 83ème épisode nous allons parler du talent.
La talent c’est un peu comme l’argent, c’est peut-être un sujet tabou (alors pas autant que l’argent), il y a quelques chose autour du talent surtout où maintenant où nous avons une sorte de dissonance cognitive globale, parce que nous sommes dans un monde et une époque où nous mettons beaucoup en avant l’individu, en tout cas dans notre société parce que ce n’est pas du tout le cas dans d’autres modèles de sociétés, où le collectif est davantage mis en avant et l’individu est complètement effacé. Si l’on regarde comment fonctionne une société, mais en tout cas dans la nôtre nous mettons en avant l’individu, c’est d’ailleurs ce que je fais dans ce podcast, c’est tout le concept du développement personnel, c’est de voir l’humain comme un individu et non comme une communauté. Dans cette vision là il y a parfois ce « culte de la personnalité » qui peut parfois être toxique (je pourrais d’ailleurs y revenir un jour dans un podcast mais il y ce côté recherche de l’individu, et c’est d’ailleurs ce qu’on fait ici à contrario du culte de la personnalité. Et de l’autre cet aspect de valeurs globales partagées qui sont les valeurs d’humilité, les valeurs de laisser sa place à l’autre, son sacrifice, ce sont deux modes de pensées qui ne vont pas vraiment ensemble et cela amène à des choses assez intéressantes, quand je parle de talent ou de quête de sens dans sa vie, de recherche d’un but, de se fixer des objectifs…
Beaucoup de personnes ont cette réaction qui est : « pour qui je me prends à croire que.. », cette recherche de l’humilité, ce qui est plutôt sain si c’est l’une de vos valeurs, très souvent c’est plutôt une façon de s’empêcher de rêver, de s’empêcher de rechercher réellement ce que l’on veut, le fait de se dire : « non mais en plus je n’ai pas tant de talent que ça, on parle plutôt de personnes qui savent ce quoi elles veulent aller et qui ont déjà une idée et qu’elle se disent qu’elles le savent et qu’elles ont écouté leur intuition, qui ont cet espèce de sentiment qui leur dit qu’elle ne devrait pas être là où elles sont, qu’elles savent dans quelle direction elles devraient aller, qu’elles ont quelque chose qui les attire, que ce soit une activité artistique, que ce soit du militantisme, que ce soit un mode de vie de manière générale, que ce soit un métier, mais il y a ce truc qui est là mais ce sentiment persiste de « mais pour qui je me prends », « je ne mérite pas de… », « les autres n’ont pas ça, les autres ont moins et ne s’en plaignent pas », il y a ce type de personnes.
Et il y a un autre type de personnes qui me disent : « il n’y a rien qui m’attire, je suis complètement paumé parce que je vis dans un monde où on me dit qu’il faut que je trouve ma passion, la chose que j’aime et que je dois poursuivre jusqu’à la fin de mes jours, sauf que je n’ai absolument aucune idée de ce que je veux, de ce que j’aime, il n’y a rien qui m’intéresse ».
Je vais parler un peu de ces deux choses là aujourd’hui dans ce podcast c’est de définir le talent. Le talent est une aptitude qui est facilement reconnaissable chez quelqu’un, que d’autres personnes n’ont pas, elle semble innée, la façon dont on la perçoit c’est comme si elle était innée, alors que toutes les personnes qui vont travailler sur cette notion de talent, on ne sait pas si c’est quelque chose qui est inné (dès la naissance) ou si c’est quelque chose qui est acquis, depuis la naissance mais suffisamment tôt pour qu’on puisse le remarquer depuis le plus jeune âge.
Je ne peux pas vous le dire, les recherches à ce propos ne le disent pas vraiment clairement, il y a plusieurs écoles, en tout cas à l’âge adulte c’est une aptitude qui est reconnaissable chez quelqu’un et que quelqu’un d’autre n’a pas. Si on se pose un peu la question : « pourquoi certaines personnes ont des aptitudes à certaines choses que d’autres n’ont pas », on va souvent se rendre compte que les aptitudes en question, si elles sont reconnues, si elles sont assumées », c’est souvent quelque chose qui est apprécié par la personne, c’est une activité que la personne fait beaucoup, et c’est quelque chose qui lui parait naturel, et d’ailleurs c’est le propre de la personne qui a du talent que de penser qu’elle n’en a pas parce que pour elle ce qu’elle fait est tellement naturel, c’est tellement quelque chose qu’elle a toujours eu, sur lequel elle n’a pas particulièrement fait d’effort, ou quand elle a fait des efforts, lorsqu’elle a fournit des efforts ou de l’énergie, et qu’il a fallu mettre un effort derrière, c’était tellement pour faire quelque chose qui a un sens à ses yeux, qui lui paraissait logique et qui lui donnait du plaisir en le faisant (c’est ce que l’on appelle l’état de flow), cette personne va nous dire qu’en réalité ce n’est pas vraiment un talent, ou c’est un truc nul. Pour ma part, je pense que l’on peut avoir plusieurs talents, il y a plusieurs choses vers lesquelles j’ai une affinité et une certaine facilité qui sont reliées à une aptitude globale, qui est portée sur l’empathie et l’hypersensibilité.

Coach sans le savoir quand j’étais enfant

Quand j’étais enfant, je devais avoir 10 ans, un ami dans ma famille hésitait dans sa vie à partir d’un endroit pour trouver un autre travail et aller dans le sud de la France et là il avait 3 enfants, une femme, il était marié, il travaillait à coté de chez moi, il était heureux dans son travail mais il avait cette espèce de sentiment qu’il avait envie d’être dans le sud de la France parce qu’il avait sa famille là bas, il était originaire du sud de la France. J’ai discuté avec lui et je me rappelle très bien qu’à ce moment là, je lui avais demandé : « pourquoi tu ne le fais pas ? », j’ai vraiment essayé de comprendre pourquoi il avait cette peur là d’aller dans le sud de la France et j’ai vraiment essayé de l’amener (inconsciemment), à se remettre en question et se dire qu’il pouvait le faire, parce que lui était persuadé qu’il ne pouvait pas. Je ne me rappelle même plus comment nous en étions arrivés à discuter de cela, je me trouvais à un apéritif avec des amis très proches, tout le monde était en train de discuter et on s’est retrouvé à parler ensemble, j’ai toujours était une enfant assez mature, j’aimais bien parler avec des adultes, il m’a dit : « tu ne sais pas, tu es une enfant, tu ne te rends pas compte ce que c’est d’avoir des responsabilités, d’avoir des enfants, tu comprendras quand tu seras grande… ». Ce qui est drôle c’est que lorsque je suis devenue grande, en effet j’étais toujours d’accord avec ce que je lui avais dit plus jeune, mais surtout, c’est quelque chose que j’ai fait qui était naturel, c’est à dire de discuter avec quelqu’un, de lui poser des questions pour essayer de comprendre et pour tenter de l’amener à sa propre réflexion et à faire que cette personne voit par elle-même qu’en réalité, ce qu’elle dit est un peu du bullshit. Je ne me voyais pas lui dire : « je pense que tu peux aller dans le sud de la France », je lui ai demandé « pourquoi tu ne peux pas, pourquoi tu ne peux pas trouver du travail en amont… ». Je me rappelle que ça l’avait agacé, ce qui est drôle c’est qu’aujourd’hui, au moment où je vous parle, 20 ans plus tard, il est effectivement parti de cet endroit, qui est un endroit magnifique où j’ai grandi, et devinez où est-il à l’heure actuelle ? Dans le sud de la France. C’est super de se rendre compte de cela. Je n’ai pas eu l’occasion de discuter avec lui, mais c’est une situation qui m’est arrivée plusieurs fois étant enfant, de discuter avec des adultes ou des personnes un peu plus âgées que moi et de les amener à avoir une réflexion sur leur vie et pour moi c’était tout à fait normal.
Souvent on me disait : « Esther, tu es incroyable, comment tu fais ça, tu m’as fait me sentir mieux, grâce à toi je me sens bien qu’est-ce que tu m’as fait », je me disais que c’était très nul comme talent, un fois adulte, je me suis dit que j’étais juste une bonne confidente, je suis juste quelqu’un qui est « boostante », je trouvais ça nul comme don. C’est en suivant mon intuition et en allant dans cette direction là, j’ai pu en faire mon métier aujourd’hui.
Ce n’est pas le seul métier que j’ai parce qu’il se trouve que j’ai d’autres choses qui m’intéressent et notamment le fait de dessiner… Ce qui est intéressant de voir ici, votre talent n’est pas forcément ce que vous pensez, lorsque l’on pense au mot « talent », on pense à la musique, la peinture, des choses artistiques dans notre société, même si maintenant ça commence à changer dans les mentalités et voit bien que le talent ce n’est pas juste ça. Quand on dit qu’il faut chercher ce qui vous attire, votre don, même si le mot don n’est pas forcément le meilleur parce qu’il réfère à un don artistique dans l’inconscient collectif, je pense que vous voyez ce que je veux dire par là avec mon exemple qui n’est pas en rapport avec un talent artistique. Cherchez cette chose qui vous attire, le point commun des différents talents, des différentes aptitudes de chacun, c’est quelque chose que l’on a tellement ancré en nous, que nous ne sommes pas en mesure de le voir. Il faut demander aux personnes autour de nous : à quoi suis-je bon ? Parce qu’ils vont le voir de l’extérieur, il peut s’agir d’aptitudes humaines, des aptitudes sportives, souvent on se dit : « non mais je n’ai pas de mérite, parce que je n’ai rien fait pour », alors en faite, ce qui est intéressant c’est que vous vous rendrez compte que finalement, là où vous êtes bon, là où vous avez une certaine aptitude, un certain intérêt, les deux sont une sorte de cercle vertueux, plus la chose vous intéresse, plus vous aller devenir bon à cette chose là. Par exemple, j’ai passé ma vie à coacher des personnes dans mon entourage, je pense à d’autres personnes qui adorent la musique et qui ont passé des heures dans leur vie à faire cela. Il en va de même pour toutes les aptitudes et toutes les choses que l’on aime, nous avons tendance à y passer des heures et des heures et à devenir très bon à cela, ne pas se rendre compte que l’on a acquis une expérience.
Je ne pense pas que ce soit absolument essentiel de connaitre votre talent. Je vais vous dire pourquoi je pense que tout le monde a du talent. Je pense cela, parce que pour moi ce n’est pas juste une aptitude à faire quelque chose, même si c’est de cette manière qu’elle est définie, pour moi cette aptitude n’est pas là pour rien, elle est là pour nous permettre de porter quelque chose qui est plus profond, qui est plus lié à notre humanité et à nos valeurs. La différence entre un humain et un autre animal, c’est qu’il a des valeurs, il aime distinguer le bien du mal, il aime distinguer le beau du laid, il a cette capacité là qui est presque spirituelle qui est de faire cette distinction entre le bon et le mauvais. Généralement ces valeurs sont portées par le moyen d’un message, ce message ont le porte par notre talent, le talent est juste là pour servir notre message, si vous regardez les artistes ils ont souvent un message à faire passer, je connais des personnes dans mon entourage qui sont assistantes sociales et qui sont absolument passionnées, je connais aussi des personnes qui sont professeurs et qui sont passionnées, elles ont un message à faire passer, elles transmettent ce message par le biais de leur activité, je connais aussi des personnes qui s’occupent à plein temps de leurs enfants, il y a quelque chose qui est lié à leur talent, pour moi tout cela va dans la même direction.
Pour moi quelqu’un qui ne saurait pas quel est son talent, il faudrait déjà par se demander quelles sont ses valeurs et qui commencent par un travail d’apprentissage de soi, je ne pense pas qu’il existe des personnes qui n’ont pas de talent, je pense que l’on a tous un message, on a tous une humanité et je pense que si on a la sensation de ne s’intéresser à rien, et de ne pas avoir de talent c’est que l’on est actuellement dans un état mental et émotionnel qui ne nous permet pas de le voir, parce que ça ne va pas, pour moi, la solution quand on ne va pas bien, si c’est de l’ordre de la pathologie c’est d’aller se faire aider par des personnes compétentes, et sinon c’est d’apprendre à se connaitre, d’aller chercher ce qui a dans notre esprit, comprendre à quoi on pense, quelles sont les pensées et les émotions que l’on a et qu’est ce qu’on a réellement envie de faire et arrêter de refouler toutes ces choses qui pourraient nous intéresser mais qu’on arrête de se dire que ce n’est pas accessible et d’aller creuser cette question là. Et quand on commence à se poser la question de : « quelles sont nos valeurs, quelles sont les choses qui sont importantes à nos yeux ? Quelles sont les choses qui sont belles et qui sont juste à nos yeux », il va suivre une volonté de poursuivre ces valeurs là par le biais d’une mission, par le biais d’une activité qui va nous permettre de suivre cette voie là, cette activité va développer un talent qui est surement déjà là, ce n’est pas pour rien qu’on a ces valeurs là, ce n’est pas pour rien que l’on est touché par certaines choses et pas par d’autres, pour moi tout cela crée l’humain. Je pense que si vous êtes dans cette situation où vous ne savez pas ce qui vous intéresse, que vous n’aimez rien, je pense que la première chose à faire est d’apprendre à se connaitre parce que pour moi ce n’est pas que ce n’est pas possible, je n’ai pas la science infuse mais c’est ma vision en tant que coach, j’ai suivie plus d’une centaine de personnes en coaching, je n’ai pas encore compté, je pense 100 parce qu’il y a 90 personnes dans le groupe Facebook des anciens coachés sur le surpoids, sachant que je n’ai pas coaché que sur le surpoids mais aussi sur pleins d’autres sujets, il y a au moins 100 personnes, et de mon expérience, ce que je vois c’est que tout le monde avait un talent, tout le monde a une sorte d’humanité avec une direction, une vraie mission, c’est juste quelque chose que l’on a appris à effacer parce que socialement on nous a dit que ce n’était pas forcément bien de poursuivre un talent, qu’il faut être modeste.

Mais j’ai envie de vous dire qu’il n’y a pas de vertu dans l’auto-sabotage.

A qui cela sert de s’auto-saboter ? Qu’est-ce que cela apporte au monde ? On peut tous à fait développer un talent, connaitre un talent, savoir qu’il y a quelque chose sur lequel on est bon, compétent, sans pour autant manquer d’humilité, je dirais même que c’est même tout l’inverse. Je vais vous faire une proposition : si ce talent est inné, ou si il a été acquis parce que vous aimez et que vous preniez du plaisir à le faire et que vous vous êtes exercés au point d’en avoir des compétences, il existe tout un livre là dessus « The story of success », il parle du fait qu’il faut mettre 10 000 heures de travail afin de développer un talent. Depuis il y a eu de nombreuses études qui ont montré que ce n’était pas forcément vrai. Ce que je vous raconte est un mélange de tout un tas de sources et il serait compliqué de tout dénouer.
Nous avons tous un talent qui peut être développé, il n’y a pas de vertu dans l’auto-sabotage et même si l’on veut aller plus loin, si ce talent est inné, ou qu’il a été acquis, il n’est pas lié à nous, ce qui fait que l’on a aucun mérite à cela, nous n’avons rien fait de particulier pour l’avoir ce talent, on ne peut pas se l’attribuer, en se disant c’est mon talent, c’est mon mérite, quelqu’un qui est extrêmement beau, il n’a aucun mérite à être très beau, quelqu’un qui est extrêmement doué en musique n’a aucun mérite à cela, peut-être qu’il a travaillé pour développer cela, peut-être qu’il y a du mérite dans l’effort qu’il a porté, mais en soi, le fait d’avoir développer un talent par plaisir. Ce que j’essaie de vous dire c’est que ce talent ne vous appartient pas, ce n’est pas quelque chose qui est lié à votre travail, ne pas l’exploiter et vous auto-saboter, non seulement, cela n’apporte rien, il n’y a pas de vertus là dedans.
Ce talent vous l’avez eu à la naissance avec une mission derrière, ne pas l’exploiter est presque une offense que vous faites aux reste des êtres humains, de ne pas utiliser ce talent là. Comme tout le monde a quelque chose sur lequel il est bon, tout le monde a quelque chose à apporter, une direction dans laquelle il pouvait aller, ne pas le faire c’est saboter l’ensemble de l’humanité, car c’est ne pas apporter les choses que vous avez dans votre cœur, les choses que vous pourriez faire pour le reste des humains. C’est complètement absurde comme façon de penser, on peut tout à fait reconnaitre que l’on a un talent mais aussi reconnaitre que l’on y est pour rien dans ce talent et qu’on n’a pas besoin de se vanter.
Enlevez-vous de la tête que de reconnaitre votre talent est un manque d’humilité, un manque d’humilité serait de penser que c’est quelque chose qui vous ai dû, que c’est quelque chose qui vous appartient et que pour cela vous êtes génial et mieux que les autres, c’est juste quelque chose que vous n’avez pas choisi qui est là, qui est facile pour vous et ce serait complètement idiot de ne pas l’exploiter selon moi. Je trouve que l’on a tous à perdre si vous n’exploitez pas votre talent.
Si l’on doit résumer cela, cela fait partie de notre mission individuelle que d’aller se poser la question : « qu’est-ce que j’aime ? Qu’est-ce que j’ai envie d’aller exploiter ? Dans quelle direction j’ai envie d’aller ? Quel message j’ai envie de porter ? Qu’est ce qui va me rendre heureux ? » parce que très souvent notre talent c’est ce qui va nous rendre heureux, cela s’aligne dans une direction qui va nous permettre de s’épanouir. Si vous agissez selon vos valeurs, vous êtes heureux. Pour nous, notre travail à tous en tant qu’être humain est d’aller chercher quel est ce talent, quelle est cette mission, il ne s’agit pas de sauver le monde pour autant. Aller chercher ce sur quoi l’on est bon est ne pas chercher à s’auto-saboter, parce que personne n’a à y gagner, nous y compris, surtout les autres. Nous serons les plus utiles et les plus à même d’apporter beaucoup à tout le monde si nous-même faisons l’effort de reconnaitre notre propre talent, si l’on s’autorise à faire ce travail de connaissance de soi et d’aller chercher au fond de notre cœur, vous savez que j’ai une vision plus cartésienne que l’âme et le cœur, le cœur est un ensemble de valeurs, probablement acquises dans l’enfance en partie, et c’est aussi simple que cela et nous avons tous beaucoup à apporter, que personne n’a d’intérêt à s’auto-saboter et que l’on s’empêche de voir qu’on a un talent et une direction dans laquelle nous avons envie d’aller.
Je m’arrête là pour aujourd’hui, si vous avez envie de faire ce travail là de connaissance de soi au sein de La Communauté qui est l’abonnement que j’ai lancé en matière d’autocoaching qui est là pour vous apprendre à vous faut-coacher. C’est vraiment la continuité de ce podcast, on travail sur toutes les thématiques, ce n’est pas un coaching individuel, où moi je vais vous aider à aller vers un but, c’est vraiment un travail de fond que l’on fait sur l’apprentissage de soi, avec un thème chaque semaine sur lequel on travaille ensemble, si vous avez envie de faire ce travail là mais que vous voyez qu’en pratique vous n’appliquez pas les outils que je vous propose ici, que vous les appliquez mais pas sur la durée, que vous avez besoin de soutien, eh bien je fais un tout petit podcast quotidien 5 jours sur 7 dans LA Communauté, vous avez en direct via les « Mots du jour », de l’aide à la mise en application, je réponds à vos questions et je me sers de vos situations personnelles comme exemple afin d’appliquer les outils, il y a une super dynamique et nous avons d’extrêmement bons résultats, il y a de nombreuses personnes qui ont transformé leurs vie grâce à cela, l’abonnement est un petit prix de 19 euros/mois. Si vous voulez vous abonner, n’hésitez pas à nous rejoindre.
Je vous embrasse, je vous souhaite un excellent week-end et je vous dis à vendredi prochain !